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Sunday, June 01, 2025

Qui veut voir la couverture de l'ultime tome de la Smala ?

 


Bonjour,

Le 10 juin prochain sortira l'ultime tome des Aventures de la Smala que je vous ai présentées en avril.

Après 15 ans de bons et loyaux (tout est relatif avec eux !!) services, ils ont décidé de prendre leur retraite...

Pourtant, il se murmure qu'ils pourraient revenir, ponctuellement, sur le blog pour une aventure ou deux annuellement (selon l'imagination de l'auteure, ce boulet !) mais qui ne seront pas rassemblées dans un 6e tome.

Voici donc la couverture du tome 5...





Rendez-vous dans quelques jours !

xx

Lisa 

Monday, October 19, 2020

[lecture] Quand Karl rencontre Nina.... le retour !

 

 Revoilà le roman, enfin...

Dans une nouvelle version à base de mes notes initiales, une nouvelle mise en forme.... et, une nouvelle couverture ci-dessus !

Il y a toujours la B.O. à écouter sur Spotify !

Voici la 4e de couverture 


Si vous voulez plus d'infos, il faut vous rendre ici !

Et si vous voulez l'acheter (en papier ou en PDF), c'est ici:

 


 

Thursday, October 15, 2020

[Musique] La Playlist du jeudi... c'est celle de Karl !

 

 Oui, parce que Karl - Nina : un chemin possède sa B.O.


Voici quelques chansons marquantes qui m'ont accompagné.

 SPOTIFY

Etienne Daho "Soudain"



Lucienne Boyer "Un Amour Comme le Nôtre"



André Claveau "J'ai Pleuré sur tes Pas"



Joséphine Baker "J'ai deux Amours"



Marlène Dietrich "Ja, So Bin Ich"




Thursday, September 24, 2020

[Musique] La Playlist du jeudi.... un retour attendu !

  

 A quelques semaines de sa réédition dans une version originale (mes notes de bases), une sublime couverture, une nouvelle mise en page et... un titre réactualisé, je vous livre quelques chansons de la B.O. qui m'a suivie tout au long de l'écriture, il y a fort, fort, fort longtemps ! 

 Un indice :

 


 

SPOTIFY

 

André Claveaux "J'ai pleuré sur tes pas"

 


 

Danielle Darrieux "Le Premier Rendez-vous"

 


Charles Trenet "Que Reste-t-Il de Nos Amours ?"

 


Jean Gabin "Quand on s'promène au bord de l'eau"

 

 

Étienne Daho "Soudain"

 


 




 

 

Monday, September 21, 2020

[lecture] "Homo Vampiris - le jour où tout commença" de Marie Rozsa .... entre chien et loup ...

 

Homo Vampiris, le jour où tout bascula – Marie Rozsa

Livre en autoédition

 

Le résumé de l’éditeur :

« Et si ce que vous saviez de l’Histoire n’était qu’une partie de la vérité ?

Et si une autre espèce que l’Homo Sapiens avait évolué sur Terre ?

Comment réagiriez-vous, si vous rencontriez cet autre prédateur ?

Un conseil, ne courez pas. »

 

Le contexte de lecture :

Dois-je dire que j’ai connu Marie lors de la préparation des Indés du Livre de mai dernier ?  Nah…

Mais si…, allez ! Marie et moi n’avions aucune table ronde en commun ou interview préalablement… mais des visioconférences oui… Je voulais découvrir son univers, loin du mien et surtout par ce que ses histoires touchaient aux vampires… et que, bon, voilà, je fais partie du contingent des admirateurs de la légende sur les suceurs de sang (entre autres !)…

En outre, depuis la fin de The Originals (et non pas de la série mère… Vampire Diaries qui m’exaspère), j’étais un peu en manque de créature caractérielle (Klaus Michaelson si tu passes par là…).

Je savais pertinemment, en achetant son roman, que je mettais les pieds dans de la Bit-Lit…  avec ce que cela comporte (de la romance).

Oui, encore...

 

Le corps du roman :

Dès le début, l’héroïne vous le dit, elle est sensible à la littérature sur les vampires… ça tombe bien…

Arduina est une solitaire ; en marge de sa vie professionnelle (elle est puéricultrice), elle n’aime que les longues balades dans la nature, les enfants, donc, et son travail. Un jour, elle est attaquée par un loup qui la fait se retrancher dans un arbre… Une longue nuit plus tard, et malgré sa fuite, elle ne peut s’empêcher, de faire marche arrière afin de sauver le loup blessé…

Trop de gentillesse te tuera me disait-t-on… 

Justement, le loup la croque et se change en homme (nu…)… sous sa contrainte (tu m’étonnes), elle est kidnappée dans un monde parallèle où les vampires-loups vivent depuis des milliers d’années… certains intégrés dans le monde des humains, d’autres en vase clos… 

Elle va découvrir chez son hôte-geôlier, Sasha, un vampire sans filtre, oscillant entre la bête et l’homme, entre empathie et brutalité … surtout qu’Arduina est désormais sa bouée de sauvetage, grâce à son sang…

Les liens du sang sont-ils les plus forts… y compris quand l’héroïne sent son cœur battre un peu trop fort…


Et, donc, Lisa ?

 La demoiselle a du caractère et ne s’en laisse pas conter… autant dire que Sasha est tombé sur un os (je sais, c’est facile !).

Pourtant Arduina a tout pour plaire : elle est jolie, douée d’empathie, compréhensive, et carrément adorée par les gardes de Sasha (oui, autant se faire des copains dès le début, on ne sait jamais, ça peut servir !).

Évidemment, le vampire est cynique, un brin froid et cassant mais on sent bien qu’il y a un gentil derrière sa belle gueule (et accessoirement, il est souvent tout nu, ce que n’enlève rien à l’attraction du damoiseau).

Il a forcément aussi une belle qui lui tourne autour (sinon, comment voulez-vous que l’héroïne capte qu’elle en pince pour le joli cœur), un bon méchant (et un gros con…), etc.

Arduina tente de s’adapter à sa nouvelle vie (oui, parce que si tu croises un vampire, qu’il te mord, que tu deviens son filtre de guérison, y’a de fortes chances pour qu’il t’enchaîne à lui…) et se fond dans le décor. Elle charme les enfants (facile c’est son métier), les parents (moins facile mais bon, c’est une humaine, donc… un quatre-heures potentiel) et petit à petit son vampire.

L’histoire se suit bien ; au début, l’auteure pose le décor, le passé d’Arduina, petit à petit distille ceux de Sasha et de ses amis (avec un mordant coup sur l’égocentrisme de l’être humain…) et multiplie les actions ou péripéties qui ne s’arrêtent jamais. Tout être sensible (qui est préposé, donc, à la guimauve) soupirera à intervalles réguliers…

Alors, oui, avec mon côté « pas trop sucre sur la guimauve, merci », mon intérêt s’est emballé quand le frère de Sasha et la pétillante Kalia sont apparus dans le cadre… Ah ! Me suis-je exclamé, de la concurrence !

Car, oui soyons honnêtes, le divin vampire est un vite accro (et pas que pour ses vertus thérapeutiques) à l’effrontée Arduina… mais il ne le sait pas encore (ou trop, ou pas assez)…

Ladite Arduina qui, à force de rebeller, aurait fini au petit-déjeuner ; si j’étais un vampire, s’entend !

Sans dévoiler la surprise de fin (qui ouvre sur une suite…), j’ai apprécié ma lecture car elle m’a rappelé pourquoi j’aimais tant The Originals et le mythe des vampires…

Ah, oui, et l’acteur principal de The Originals (Joseph Morgan, bande d’ignares !) seyait parfaitement mon idée de Sasha !  

***

Titre Homo Vampiris, le jour où tout bascula

Autoédition

Parution : 9 décembre 2019

ISBN : 978-1674811185

Nombres de pages : 221

Prix (à la sortie) : 6,86€uros

 


Monday, August 31, 2020

[Lecture] Les Epureurs de MEG.... Au-delà et encore plus (la suite arrive !)

 

 Livre en auto-édition
 

Le résumé de l’éditeur :

Les Épureurs est un roman d'anticipation présentant une vision utopique du monde. Il n’y a pas d’ennemis à combattre, ni de système qu’il s’agirait de détruire. Les personnages sont animés d’intentions positives et évoluent dans un monde en construction, qui s’est relevé du "cataclysme". Devenir épureur ! En 2138, à l’aube de la douzième sélection, tous en rêvent. En entrant dans la tour de l’Espoir, les candidats n’ont aucune idée des épreuves qui les attendent. Ont-ils les capacités physiques et mentales suffisantes pour surmonter les tests de neuroscience ou de transfert ? Au gré des entraînements, des affinités se développent, mais nombre d’entre elles ne résisteront pas aux éliminations. Pourtant, la sélection permet à certains de se révéler à eux-mêmes, alors que d’autres découvrent des enjeux qu’ils ne soupçonnaient pas. La volonté et l’entraide peuvent mener au succès, mais pour cela il faut convaincre car le verdict des épureurs sera sans appel.


Le contexte de lecture :


J’étais au salon du livre de l’auto-édition le 1er juin 2019 (grand jour… Liverpool a gagné la ligue des Champions le soir même … autant vous dire que la journée fut la plus belle de l’année !)…

Comme j’étais, moi-même sur un stand (Esthesie Box), je n’avais pas trop le loisir de me promener mais, entre deux interventions sur la scène (oui, il y avait des débats, des tables rondes), je fonçais faire un tour des auteurs.

MEG était juste face à moi, à deux travées de distance. Sa couverture des Épureurs m’a attiré et j’y suis allée tout de suite… J’ai accroché à la fille et au livre que j’ai commencé dans le train de retour…


Le corps du roman :


La plume de MEG est fluide, simple et agréable à lire.

Elle développe, avec délectation, les différents personnages et leur a donné des caractères et personnalités diverses et bien structurées.

Il faut donc s’habituer à tout ce petit monde mais cela se passe très bien… Chacun étant unique (pour nous !), le lecteur a la possibilité de

Les chapitres sont courts et cela permet de rendre la lecture dynamique et tout se déroule avec des enchaînements qui semblent s’écrire petit à petit sous nos yeux.

Le roman s’arrête brusquement… ce qui fait penser à une suite (voire plusieurs !).

Et, donc, Lisa ?

Les Épureurs se passe donc en 2138, à l’aube de la douzième sélection, tous en rêvent.

Les candidats n’ont aucune idée des épreuves qui les attendent. Au gré des entraînements, des affinités se développent, mais nombre d’entre elles ne résisteront pas aux éliminations. Pourtant, la sélection permet à certains de se révéler à eux-mêmes, alors que d’autres découvrent des enjeux qu’ils ne soupçonnaient pas.

Ce livre d’anticipation se lit vite, c’est clair, les personnages sont bien identifiables et l’histoire se suit. Les rebondissements, les coups bas et autres romances ne sont ni trop, ni trop peu.

C’est du Young Adult Sci-Fi, avec une histoire bien campée dans un monde séparé en entités, notamment les Épureurs (ceux qui recrutent, donc) et les Réalistes.

Cela pourrait s’inscrire dans la lignée des sagas Divergente, etc. ; je n’avais jamais lu ces sagas, même si j’ai vu quelques films par curiosité, et cela ne m’a pas dérangé.

J’ai suivi tranquillement le parcours de recrutement de ces jeunes gens avec des caractères bien définis mais somme toute assez convenus… pour des ados !

J’ai pensé aussi, dans un autre contexte, au livre « La tâche verte » d’Anne Labbé, lu en 2018, pour l’évocation de cette tour… étrangement puisque les romans n’ont rien en commun…

Ce livre appelle forcément à trois tomes, d’après l’auteur…


J’ai hâte… (car j’en ai eu un avant-goût !).

  ***

Titre Les Épureurs

Auto-édité

Parution : 28 août 2018

ISBN : 978-1719903615

Nombres de pages : 230

Prix (à la sortie) : 9,99€uros

 

 

Monday, January 20, 2020

[Lecture] "La Cité de feu" de Kate Mosse... un roman historique en plein guerres de religions


Livre envoyé gracieusement par les Éditions Sonatine.

Le résumé de l’éditeur :


France, 1562. Les tensions entre catholiques et protestants s'exacerbent, le royaume se déchire. Le prince de Condé et le duc de Guise se livrent un combat sans merci. Les huguenots sont persécutés, les massacres se succèdent. À Carcassonne, Marguerite Joubert, la fille d'un libraire catholique, fait la connaissance de Piet, un protestant converti dont la vie est en danger. Alors que la violence commence à se déchaîner dans la région, le couple se retrouve bientôt au centre d’un vaste complot, lié à une sainte relique. Leur quête va les mener vers une ancienne forteresse, où sommeille un secret enterré depuis des décennies.



Le contexte de lecture :


Depuis 2018, et surtout 2019, je reçois régulièrement les sorties des Editions Sonatine… et l’année dernière, elles furent à l’origine, a minima, de 2 gros coups de cœur livresques (Requiem et 1793) et d’une découverte thriller, en la personne de Tony Cavanaugh. 


Évidemment, cette année, à réception du catalogue des sorties 2020, j’ai examiné avec grande attention les parutions… et là, dès les premières pages, j’ai été happée par deux phrases « France, 1562. Les tensions entre catholiques et protestants s’exacerbent, le royaume se déchire » et deux noms de ville : Toulouse et Carcassonne.


Férue d’Histoire, avec un cœur occitan, et attaché à cette période, ce livre qui ne pouvait que me plaire… roman historique, guerre de religions, France, sud-ouest, complots, souffle, fresque, femmes fortes, garçons ambigus…

J’ai donc demandé à faire partie des destinataires…. Et Sonatine a accepté avec grande gentillesse… comme toujours.

L’Histoire de cette période, ces lieux m’étant familiers, j’avais hâte de me plonger dans ce roman épique, pendant la période des fêtes.

Le corps du roman :

Dès le début nous sommes au milieu du 16e siècle, 1562, entre Carcassonne et Toulouse, entre fervents catholiques et huguenots chassés et pourchassés en pleine 1ère guerre de religion. 

D’un côté, nous faisons la connaissance de Marguerite Joubert, dite Minou, malgré ses quasi vingt printemps, fille d’un honnête libraire carcassonnais, veuf, aînée de deux sœur et frère qu’elle adore. 

A ce moment précis, son père est souffrant, tourmenté par la mort de son épouse adoré, soumis à un inquisiteur, ce qu’il tait. Minou gère la librairie familiale, tant bien que mal ; librairie connue pour diffuser toutes sortes de pensées, entre livres autorisés et livres plus protestataires (si ce n’est réformiste). 

D’un autre, nous suivons Piet, franco-hollandais, protestant, qui telle une anguille, passe d’une ville à l’autre avec, dans son habit, un bien précieux qui va attiser toutes les convoitises en ces temps troublés. 

La jeune fille est grande, jolie, avec des yeux vairons ; le garçon est fort joli, débrouillard, reconnaissable à sa chevelure rousse et, principalement, affublé d’un ennemi, son ancien meilleur ami, arriviste, Monsignor Valentin (Vidal pour les intimes) qui vise la tête de l’évêché de Toulouse (a minima).

Évidemment, me direz-vous, les deux protagonistes sont se rencontrer, se croiser, de recroiser, d’aider, s’aimer, à Carcassonne, à Toulouse, sur les routes, puis dans un lieu qui est le centre du roman…

Car, entre deux aller-retour en cette année 1562, une ombre noire rôde, complote, ourdit, empoisonne, maudit, et entend des voix… 

Pourtant, les pages se tournent, les personnages se rapprochent, conspirent, font confiance, sont malmenés, partent d’ici pour là et y revenir… 


On découvre les humeurs, les états d’esprits, la vie derrière les rideaux, la condition des femmes, la vie rude ou oisive, les intrigues de couloir, les heurts religieux mais également la tolérance et l’amour de son prochain. 


Mais, cela serait trop en dévoiler que de raconter qui, pourquoi et le pourquoi du comment…
 
Et, donc, Lisa ?

Ce roman historique, documenté, détaillé (mais pas trop), avec des personnages sympathiques, vils, étonnants, fourbes ou soumis, est une fresque avec un beau souffle, entrecoupés de pauses romanesques et de détails historiques. Il peut rappeler, bien évidemment, les fresques et autres sagas livrés sur le sujet (guerres de religion, amour, trahison), notamment de par sa couverture qui rappelle tant un autre auteur anglais majeur…

Il faut signaler que Kate Mosse connaît la région (pour y vivre de temps en temps, à Carcassonne), l’histoire des lieux, et a une plume très agréable, fluide, et les 600 pages passent comme un songe.

On s’attache à Minou, sa sœur Alis, sa tante, son frère Aimeric, le fougueux adolescent, Piet, sa maison de charité, ses amis, y compris aux ennemis qu’ils se font çà et là. 

On suit leurs aventures, leurs retrouvailles, la fuite en avant, les errements et les révélations.

Alors, oui, l’histoire d’amour entre Minou et Piet est évidente dès le premier regard ; oui, on sent bien que le lourd secret de son père a une relation avec certains protagonistes et notamment l’ombre noire… ; oui, on anticipe vite le destin de Minou etc. 


Néanmoins, tout cela est si bien décrit, imaginé, raconté, épique, virevoltant et plantant bien le décor, expliquant les tensions de la France de l’époque, les conditions des femmes (et des enfants, etc.), que « La Cité de Feu » est un roman qui ne peut pas laisser indifférent.



Il m’a fait penser, pour le contexte et l’histoire contrariée (un peu) à « Mademoiselle de Paquelin » de Jocelyne Barthel que j’avais lu il y a quelques années…  en nettement plus lyrique, moins lourd et plus chantant (merci à l’Occitan, cette belle langue, cette belle culture !).


***

Parution : 23 janvier 2020
ISBN : 9782355847639
Nombres de pages : 608
Prix (à la sortie) : 23 €uros









Sunday, December 09, 2018

[Lecture] Chronique littéraire... "Les Terres Inconnues" de Maes Larson.... L'amitié dans l'épreuve fantasy !


Livre envoyé gracieusement par De Saxus Jeunesse



Le résumé de l’éditeur :

« Trois amis, Adam, Isaac et Ryan, se réveillent dans un monde inconnu. Comment sont-ils arrivés là, et comment rentrer chez eux ? Le mystère est total.

Emmenés par des soldats au royaume de Mirabilis, ils découvrent qu’ils sont au centre d’une paix très fragile entre cinq grands royaumes. Le bienveillant roi Garamei les accueille chaleureusement, mais il semble cacher quelque chose.

Au royaume d’Elmeria, le souverain Klausmery reçoit des rapports sans équivoque : une menace plane au-dessus des couronnes, les alliances se délient et les complots se mettent en place.

La reine Astrid dans sa forteresse d’Heldgard compte bien profiter de la situation pour contester les forces dominantes et redorer le blason de sa famille.

Dans ces moments de doutes et de conspiration, un être obscur sème la mort et le chaos sur son passage. Et l’apparition soudaine des trois garçons ne fait que confirmer qu’un évènement aux conséquences irréversibles est sur le point d’éclater.

Embarqués dans une quête incroyable malgré eux, Adam et ses amis devront se montrer courageux et patients pour survivre à cette périlleuse aventure afin de trouver les réponses à leurs questions. 

Le début d’une incroyable sage fantasy ! »



Le contexte de lecture : 

Ce livre m’a été proposée par l’attachée de presse qui, d’ores et déjà, à une bienveillance littéraire envers moi. A chaque proposition, je découvre un auteur, un univers, un roman, surprenants. 

Celui-ci est très éloigné de mes habituelles lectures. C’était tentant et je me suis dit que l’aventure pouvait être étonnante….

Voilà ! Aventure tentée avec succès !



Le corps du roman : 

Comme indiqué sur la couverture, c’est le tome 1, donc, on imagine bien que la série va se prolonger, ce qui devrait être intéressant ! 

Dès le début, l’entrée des trois amis, Adam qui s’avère très protecteur, Isaac et Ryan, dans un nouveau monde, parallèle, est fracassante mais troublante. 

Le point de départ est un songe fait par les trois amis, qui virent à la téléportation dans un royaume nommé Mirabilis. 

Leur arrivée coïncide avec le meurtre de deux habitants de ce royaume ce qui entraîne, évidemment, une chasse à l’homme (aux hommes) ; une forêt étrange et voilà leur chemin semé d’embuches. Ils essaient d’en sortir, laborieusement, de rétablir la vérité et contrecarrer une nouvelle guerre entre les royaumes, après la paix, fragile, obtenue par le roi Garamei de Mirabilis.

Les trois amis apprennent à apprivoiser ce monde et les codes afin de combattre un ennemi invisible et se retrouver propulsés dans un jeu qui les dépassent, notamment au niveau de l’enjeu ; le roi compte sur eux pour de multiples raisons, et pas forcément transparentes.

Les trois garçons s’adaptent, se fondent dans ce monde, s’intègrent au milieu de certains individus et comptent sur ces alliances et amitiés pour repartir dans leur monde… notamment Adam car quelqu’un a besoin de lui. 




Et, donc, Lisa ?

L’univers créé par l’auteur est intéressant, attachant et nous propulse dans une autre dimension, d’autres codes et dans une histoire aussi fantastique qu’amicale.

Il faut, pour moi, passer un cap dans la lecture pour voir le rythme s’accélérer et voir les émotions et notre relation aux personnages subir des hauts et des bas. L’angoisse pour eux est tapie, là, quelque part, entre les lignes et dans notre tête. 

En marge des aventures, il y a une jolie leçon d’amitié ; malgré leurs différences, les personnages sont attachants.

Isaac est le plus tourmenté et impulsif des trois, mais également attentif à certaines personnes ; Ryan, lui est quelque peu antipathique (plus par maladresse, en ce qui me concerne) mais il est assurément très indépendant ; quant à Adam, il va être vraisemblablement le plus aimé des lecteurs (sauf moi…) par son côté bienveillant, intelligent, attentif à tout et tous, et très réfléchi. Il a grandi plus vite que ses compagnons à cause de sa situation familiale. 

L’intrigue s’installe par petites touches ; l’auteur y tient et a pris le temps d’établir son univers, les décors avec une écriture agréable et fluide. Les situations, les aventures, l’atmosphère, tout est lié et provoque, chez le lecteur, des questionnements, et pas seulement à la question : vont-ils s’en sortir ?

Ce roman possède une certaine modernité, une richesse et un mélange entre le virtuel et le réel, une addiction par ci, une hypothèse par là ; tout est fait pour que le lecteur s’attache et ressente les émotions des personnages.

Bon, je dois avouer que je me suis perdue, un peu, dans les différents appellations et j’ai essayé de trouver des passerelles entre l’univers des jeux vidéo et ce roman  - défaut d’auteur, sans doute ! N’étant pas sensible aux jeux, je pense que quelques détails m’ont échappé. 

Bon, au final, l’histoire est tellement palpitante que l’on lit sans s’arrêter et qu’on aime bien ces personnages et leurs aventures.

J’avoue donc attendre le tome 2, sans impatience mais avec un plaisir non dissimulé !





***


Éditions De Saxus Jeunesse

Parution : 11 octobre 2018

ISBN : 978-2-37876-006-9

Nombres de pages : 509

Prix (à la sortie) : 18,90 €uros

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