Bonjour,
Voici mes avis pour les lectures d'avril... avec un peu de retard
Et les vôtres ??
xx
Lisa
Bonjour,
Voici mes avis pour les lectures d'avril... avec un peu de retard
Et les vôtres ??
xx
Lisa
Bonjour,
Pour la thématique du mois, on m'a demandé Lucrèce Borgia, la sulfureuse... qui ne l'était pas autant que l'Histoire a bien voulu le faire croire !!!
Alors, que pensez-vous de Lucrezia, la belle sacrifiée ?
PDF : https://drive.google.com/drive/folders/1gQdZaHtSe44VTx1asOWuoCNrTnHmoVfK?usp=sharing
Merci pour vos retours,
xx
Lisa
Résumé :
André Lehucher, 24 ans, part pour l'Allemagne au milieu des années 20 afin d'apprendre la langue et le métier. Il découvre un pays où tout est au rebours de ce qu'il espérait. Et d'abord, les jeunes filles. Un portrait non convenu d'une Allemagne phare de toutes les modernités, cosmopolite dans l'âme.
Le contexte :
Le livre qui traînait dans la bibliothèque familiale, que l’on m’a conseillé de lire des dizaines de fois à l’adolescence. Puis, j’ai eu envie de le lire et je ne le trouvais plus sur les rayonnages !
Le hasard a fait que j’ai trouvé (pour dix euros environ) un exemplaire, numéroté de 1929 !, dans un état convenable et je me suis dit « c’est le destin ! »… Surtout que sur le site de Gallimard, il est indiqué « pilon »… autant vous dire qu’il ne doit pas en rester beaucoup à trouver…
Mon avis :
On pourrait dire c’est Candide dans la République de Weimar !
En effet, André va s’encanailler à Berlin alors que les aspects sombres s’accumulent sur la République de Weimar, post-Traité de Versailles… la crise économique et financière a frappé le pays, la situation politique est aussi chaotique que la sociale, on sent la montée de la xénophobie, un accroissement d’antisémitisme, et un trublion artiste raté s’agit avec son parti NSDAP.
Pourtant, André ne voit que l’amusement, et la femme… ce côté aventurière des Années Folles… pourtant, sous la frivolité, l’auteur nous dresse un portrait du contexte sociétal de l’Allemagne de cette période avec les répercussions psychologiques post-Grande Guerre, crise financière et envie de vivre, de s’amuser coûte que coûte.
Son personnage rencontre l’autre, et voit ses certitudes vaciller ; il voit la France différemment, côté allemand, avec tout ce qu’il y a d’amour et de répulsion entre ces deux nations au début du XXe siècle.
Ce roman est un peu fou-fou mais il y a de la gravité, une réflexion sous-jacente de la réalité qui nous heurte actuellement.
L’un dans l’autre, ce roman nous pousse à nous interroger, à regarder les conséquences de ces années Folles, de l’après-guerre à travers les yeux et les expériences un jeune homme, français, mais dont les amis, eux aussi, s’intégrant dans leur monde, nous ouvre une autre perspective historique.
Bonjour,
J’avais envie de vous faire faire un tour de France des romans qui parlent de nos belles provinces (régions, départements, cantons, etc.).
Voici par Régions (selon la nouvelle dénomination), les ouvrages qui évoquent des lieux…
Beaucoup d’entre eux sont sûrement déjà lus et depuis longtemps… mais cela fait plaisir de les citer…
***
Clochemerle, Gabriel Chevallier, 1934
Le Médecin de campagne (Tome 1 et Tome 2), Honoré de Balzac, 1833
Vie de Henry Brulard, Stendhal, 1890
Justine ou les Malheurs de la vertu, Sade, 1791
Le Petit Chose, Alphonse Daudet, 1868
Le Mont-Dore
La Bachelière de Gabrielle Réval, 1918
Savoie
Premier de cordée, Roger Frison-Roche, 1942
Colas Breugnon, Romain Rolland, 1919
Le Rouge et le Noir (Tome 1 et Tome 2), Stendhal, 1830
« La petite ville de Verrières peut passer pour l'une des plus jolies de la Franche-Comté. Ses maisons blanches avec leurs toits pointus de tuiles rouges, s'étendent sur la pente d'une colline, dont des touffes de vigoureux châtaigniers marquent les moindres sinuosités. Le Doubs coule à quelques centaines de pieds au-dessous de ses fortifications bâties jadis par les Espagnols, et maintenant ruinées. Verrières est abritée du côté du nord par une haute montagne, c'est une des branches du Jura. »
Franche-Comté
Le Rouge et le Noir (Tome 1 et Tome 2), Stendhal, 1830
La Guerre des boutons, Louis Pergaud, 1912
Harmonies poétiques et religieuses, Alphonse de Lamartine, 1830
Quatrevingt-Treize, Victor Hugo, 1874
Belle-île
Le Vicomte de Bragelonne, Alexandre Dumas, 1847
Mémoires d’outre-tombe, François-René de Chateaubriand, 1848
Pêcheur d’Islande, Pierre Loti, 1886
« Et puis, avec les premières brumes de l'automne, on rentre au foyer, à Paimpol ou dans les chaumières éparses du pays de Goëlo, s'occuper pour un temps de famille et d'amour, de mariages et de naissances. Presque toujours on trouve là des petits nouveau-nés, conçus l'hiver d'avant, et qui attendent des parrains pour recevoir le sacrement du baptême : — il faut beaucoup d'enfants à ces races de pêcheurs que l'Islande dévore. »
Les Chouans, Honoré de Balzac, 1829
Le Vicomte de Bragelonne, Alexandre Dumas, 1847
Gargantua, François Rabelais, 1534
La Terre, Émile Zola, 1887
La Mare au diable, George Sand, 1846
« La Touraine a conservé un certain nombre précieux de locutions patriarcales. Mais la Touraine s’est grandement civilisée avec et depuis la Renaissance. Elle s’est couverte de châteaux, de routes, d’étrangers et de mouvement. Le Berry est resté stationnaire, et je crois qu’après la Bretagne et quelques provinces de l’extrême midi de la France, c’est le pays le plus conservé qui se puisse trouver à l’heure qu’il est. »
Marie-Claire, Marguerite Audoux, 1910
Le Grand Meaulnes, Alain-Fournier, 1913
Raboliot, Maurice Genevoix, 1925
Les Trois Mousquetaires, Alexandre Dumas, 1844
Les Regrets, Joachim du Bellay, 1558
Le Lys dans la vallée, Honoré de Balzac, 1836
« Ne me demandez plus pourquoi j'aime la Touraine ? je ne l'aime ni comme on aime son berceau, ni comme on aime un oasis dans le désert ; je l'aime comme un artiste aime l'art ; je l'aime moins que je ne vous aime, mais sans la Touraine, peut-être ne vivrais-je plus. »
Le Curé de Tours, Honoré de Balzac, 1832
Louis Lambert, Honoré de Balzac, 1832
Mateo Falcone, Prosper Mérimée, 1829
Le Comte de Monte-Cristo (Tome 1 et Tome 2), Alexandre Dumas, 1844
Colomba, Prosper Mérimée, 1840
Les Frères corses, Alexandre Dumas, 1844
Une Vie, Guy de Maupassant, 1883
« Ils repartirent et commencèrent à descendre, en contournant le golfe de Sagone. Vers le soir ils traversèrent Cargèse, le village grec fondé là jadis par une colonie de fugitifs chassés de leur patrie. […] En arrivant à Piana, il fallut demander l'hospitalité comme dans les temps anciens et dans les contrées perdues. »
Bonjour,
Il y a des chansons qui nous parlent, ou qui ont un sens particulier pour nous... dans les paroles, il y a quelque chose pour nous...
et vous ?
xx
Lisa