Chaque été, je profite de mes longues vacances (oui, par rapport aux deux autres périodes de repos) pour travailler…
Quand je dis travailler, c’est principalement de créer, lire, dessiner, écrire, réactualiser, apprendre et organiser ma vie artistique.
Tout au long de l’année, je n’ai pas franchement le temps de l'arrêter ce sacré temps, de prendre une journée complète pour ne rien faire du tout, juste procrastiner.
En général j’ai les deux matinées du week-end pour enregistrer mes podcasts, enregistrer les vidéos (ou les mettre en ligne si j’ai réussi, dans la semaine, de les mettre en boîte), rédiger les articles, faire les playlists… et préparer mes émissions de radio (et les enregistrer).
J’ai de la chance : je suis organisée et je travaille vite…
Je m’isole avec un casque et je travaille sans faire de pause ; il faut dire que je suis réveillée vers 4h30, fraîche (autant que mon âge puisse me l’assurer) et dispo, mon cerveau en état de marche, mes idées organisées et tout est prêt pour un travail productif et intensif.
Naturellement l’été, alors que le temps n’est pas un souci, je peux me permettre de ralentir le rythme et de juger si j’ai envie ou pas de continuer une activité, de prolonger un podcast, une vidéo. Non pas par rapport aux statistiques (que je ne regarde pas), mais par mon envie profonde de créer, de proposer. Si je n’ai plus envie de le faire, et même si mes abonnés aiment, je le mets en pause ou à l’arrêt total.
Alors, cet été, j’ai travaillé sur mes activités artistiques et j’ai pu faire quelques conférences sur l’histoire de mon village suite à la sortie de la monographie réactualisée et enrichie début juillet (2024, hein).
Celle que j’attendais le plus était celle prévue dans mon église… Forcément, plus émouvant de parler dans son édifice chéri, devant des personnes qui vous connaissent depuis longtemps…
Celle dont je n’attendais rien, était en médiathèque (un jour de marché, sous la chaleur accablante, sans réel engouement dans le lieu) ; j’ai fait au moins fait une belle rencontre.
Les autres furent au niveau de ce que j’attendais… un bonheur d’échanges, de rencontres et de partages.
Le nombre de participants m’importait peu car ce que j’attends toujours c’est la qualité, et non la quantité. Je préfère avoir une vue (pour mes vidéos ou podcasts) mais avoir de vrais échanges constructifs et intelligents, plutôt qu’avec 1000 vues avec des commentaires simplistes et toujours les mêmes.
Merci beaucoup les participants, au Père Favard des Terres Blanches, aux maires de villages pour leurs accords (une église peut être prise pour un mariage, je le rappelle), l’équipe de Verteillac pour la pub sur les panneaux d’annonces, Cherval Avenir et son président, mes chauffeurs, Justine et ses parents, et mes fidèles admirateurs.
Voici quelques photos… pour vous donner envie de venir visiter ces lieux ; en fin d’article, vous trouverez un autre article sur Cherval à Noël écrite par une journaliste qui me suit depuis 2018 et qui est vraiment un soutien à mon travail.
No comments:
Post a Comment
N'hésitez pas... tous les auteurs aiment les commentaires....