Belle et drôle
(et lumineuse, amoureuse, etc.)
Année 2019
Ouh…. La, la, la, la, la !
Comment vous dire ? Entre
le sapin, la boule de poils, les santons, les courses de noël, et autres
joyeusetés de la fin de l’année, j’ai un brin omis de me propulser dans les
salles obscures… sauf pour les obligations…
En sus, tous les films étaient
en version française, y compris dans mon cinéma préféré ! J’ai dû m’extirper
tard le soir pour en voir un !
Bref, tout ça pour excuser la légèreté
de ce billet de rentrée 2019… Ah, oui, au fait : Bonne année 2019… et j’ai
hâte d’être le 18 décembre … (oui, oui, l’épisode IX arrive !).
Voici les films vus
Astérix – le secret de la Potion Magique (L.
Clichy, A. Astier) : Avant d’aller le
voir, j’ai eu la surprise de recevoir la version BD… que j’ai lue (bêtement et
avidement sans réaliser que je voyais le film le lendemain !)… et j’ai
adoré la version animée ! Comment dire ? L’humour et la patte d’Astier
est vraiment un bonheur ! Et dire qu’il n’en ferait pas d’autres… tiens,
je retourne sous les couvertures, couiner !
Le Retour de Mary Poppins (R. Marshall) : C’est le film que j’ai failli voir en version
française (pitié !)… Bon comment dire, deux jours avant j’avais relu la
version de Julie Andrews, et j’ai comparé (mauvaise idée)… Celle-ci est
agréable, joyeuse, mais il manque quelque chose… je suis sortie avec les images
de l’autre en tête… Reste la poésie, la folie et Ben Whishaw que j’adore encore
plus !
L’Empereur de Paris (JF Richer) : Tiens, voilà un film qui m’a déçu. Pourquoi ? M’attendais-je
à autre chose sur Vidocq ? Sûrement ! Ou alors le battage autour du
film avait créé une envie différente et une volonté de plus. Reste un film
sympathique à suivre et qui cogne bien. Pour le reste…
A voir
éventuellement, par vous
(moi, je n’aurais peut-être pas le
temps !) :
Forgiven (R. Joffé) : un face à face pour l’histoire et la
fin de l’Apartheid avec Desmond Tutu et Nelson Mandela œuvrant dans l’Afrique
du Sud… Quand on a connu cette période, il est toujours de bon ton de ne pas
oublier d’où l’on vient !
Colette (W.
Westmoreland) :
Une Colette version Keira Knightley (à qui sied les costumes d’époque)… Cela
peut être intéressant… et puis, c’est Colette !
La Mule (C. Eastwood) : Oui, un nouveau film du grand Clint…
et là, encore devant et derrière la caméra avec du beau linge… pourtant…. Je vais
attendre sagement sa diffusion sur une plateforme digitale… (l’effet négatif de
Cooper au générique ?).
L’Ordre des Médecins
(D. Roux) : c’est
la grande mode (de retour) des films, séries etc., sur le corps médical. Après
la série créée sur Canal+, nous voici face à un médecin qui se retrouve de l’autre
côté de la barrière… avec le toujours juste Jérémie Renier.
Le film que je verrai
même s’il me faut affronter l’opprobre familial, l’hystérie collective et les emplois
du temps hyper méga chargés de tout le monde.
Bienvenue à Marwen (R. Zemeckis) : heu, comment dire qu’entre Zemeckis aux manettes et
Steve Carell, je n’ai même pas imaginer une seule seconde louper ce film !
Bon, après, j’ai vu la bande-annonce et c’est le top 1 de janvier pour moi !
Green Book (P. Farrelly) : Punaise, Viggo Mortensen en chauffeur de taxi dans les
USA ségrégationniste avec un pianiste noir sur le siège arrière ! Vous
voyez d’autres raisons pour ne pas réserver votre ticket dès maintenant ?
(enfin, si
je peux trouver assez de temps !)
Une femme d’exception (M. Leder) : va
falloir que j’arrête de vous dire que je vais voir un film car je fais ma
midinette… et, là, encore… Bon l’histoire de Ruth Bader Ginsburg est à voir
pour l’histoire des femmes dans le monde… (et il y a Armie Hammer au générique…
oui, bon, ça va, j’arrête !).
Edmond (A. MIchalik) : bon, entre mon amour pour Louis Geandreau, disciple
de Rostand, et l’intérêt pour Edmond lui-même, cela me semble le film
incontournable de la rentrée. Pourtant les critiques fleurissent çà et là sur
les invraisemblances sur les personnages (notamment sur sa femme), mais que
diable, du panache !
Glass (M. Night Shyamalan) : A chaque film de Shyamalan, on craint le pire… là, le
casting est encore à la hauteur… et le résumé est suffisant alambiqué pour être
convainquant !
L’Incroyable histoire du Facteur Cheval (N. Tavernier) : pour ceux qui ont été éblouis par le travail qu’a
entrepris ce Joseph Ferdinand Cheval, il est impensable de ne pas en savoir
plus sur l’homme…
***
Et vous, quels sont les films que vous allez voir ?
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