Voici donc les livres lus depuis fin octobre.. hormis certains livres du Black November (cf. la vidéo)
Sarah Cohen-Scali
« Arthur Rimbaud, le voleur de Feu »
Hachette jeunesse
Comment résister à un livre sur Arthur Rimbaud… je suis un brin amoureuse de lui depuis mes 8 ans et je ne me lasse jamais de lire, non seulement sa poésie, mais également des ouvrages sur sa vie.
Sarah Cohen-Scali évoque au gré de 260 pages environ la vie d’Arthur, l’enfant, l’adolescent à Charleville-Mézières. Petite ville grise, avec une vie étriquée, quasiment sans père, une mère froide, et cette envie, cette rage d’ailleurs.
Elève brillant mais indiscipliné, à l’imagination féconde, garçon attachant mais rebelle, un futur esprit libre, n’ayant peur de rien sauf de finir sa vie dans cet univers morne et sans couleur. On découvre ses aspirations, son imagination, ses amitiés, ses relations avec ses frère et sœurs.
C’est un livre jeunesse donc ponctué d’éléments simples et le récit nous entraîne vers la fuite d’Arthur à Paris… le roman s’arrête là.
Perso, j’ai aimé ma lecture… cela ne révolutionnera pas ce que j’ai lu sur lui, car je connais bien sa bio… mais c’est fluide et agréable !
« La Couleur oubliée de l’arc-en-ciel »
Sarah Cohen-Scali évoque au gré de 260 pages environ la vie d’Arthur, l’enfant, l’adolescent à Charleville-Mézières. Petite ville grise, avec une vie étriquée, quasiment sans père, une mère froide, et cette envie, cette rage d’ailleurs.
Elève brillant mais indiscipliné, à l’imagination féconde, garçon attachant mais rebelle, un futur esprit libre, n’ayant peur de rien sauf de finir sa vie dans cet univers morne et sans couleur. On découvre ses aspirations, son imagination, ses amitiés, ses relations avec ses frère et sœurs.
C’est un livre jeunesse donc ponctué d’éléments simples et le récit nous entraîne vers la fuite d’Arthur à Paris… le roman s’arrête là.
Perso, j’ai aimé ma lecture… cela ne révolutionnera pas ce que j’ai lu sur lui, car je connais bien sa bio… mais c’est fluide et agréable !
« La Couleur oubliée de l’arc-en-ciel »
Martine Pilate
Éditions de Borée
Voici l’exemple type de mon instinct me dictant de reporter la lecture d’un livre.
J’avais (et j’ai) très envie de lire ce roman car les thématiques me plaisent : ségrégation aux USA, la musique et la Grande Guerre… mais, je dois avouer, et comme je l’ai noté sur Instagram, j’ai arrêté à la page 110 car tout s’est enchaîné trop aisément… un peu naïvement ou parfaitement… trop évident… En ce moment, mon niveau guimauve est trop bas… je le finirai pendant les fêtes de noël, avec un bon chocolat chaud et deux bûchettes au café !
« Les âmes pirates »
J’avais (et j’ai) très envie de lire ce roman car les thématiques me plaisent : ségrégation aux USA, la musique et la Grande Guerre… mais, je dois avouer, et comme je l’ai noté sur Instagram, j’ai arrêté à la page 110 car tout s’est enchaîné trop aisément… un peu naïvement ou parfaitement… trop évident… En ce moment, mon niveau guimauve est trop bas… je le finirai pendant les fêtes de noël, avec un bon chocolat chaud et deux bûchettes au café !
« Les âmes pirates »
J.K-Gras (reçu gracieusement au salon de Carry-le-Rouet)
Je sais que ce n’est pas le genre de livres dont je ressors avec un pouce levé mais plutôt avec un avis mitigé par trop de guimauve !
Donc, on suit les aventures de Florence, jeune noble française kidnappée par des pirates sur ordre… de la France à la Nouvelle Orléans, en passant par les îles Tortuga, l’auteur nous embarque sur un brick pirate mené par un irlandais, le capitaine Steven Kelly et toute sa bande de mauvais garçons, mais bon, pas si mauvais quand même.
L’histoire est racontée par Florence, avec des apartés évoquant son passé, ses liens désastreux avec sa mère, sa condition de femme, ses envies, ses sentiments, etc.
Ce roman mêle action, aventure et une larme d’érotisme… attention, là, aussi, rien de choquant pour moi… il y a bien un avertissement au début mais personnellement, je n’ai rien lu qui soit réellement pour public averti (oui, donc, n’allez pas lire cela comme l’histoire du soir).
Alors, oui, j’ai aimé ma lecture, et cela m’a amusé aussi de voir cette emmerdeuse se débatte avec des pirates … Pourtant j’ai trouvé de la facilité dans le récit … mais, en tant qu’auteur, j’anticipe souvent ce genre de livres.
« Le Cirque des Rêves »
Donc, on suit les aventures de Florence, jeune noble française kidnappée par des pirates sur ordre… de la France à la Nouvelle Orléans, en passant par les îles Tortuga, l’auteur nous embarque sur un brick pirate mené par un irlandais, le capitaine Steven Kelly et toute sa bande de mauvais garçons, mais bon, pas si mauvais quand même.
L’histoire est racontée par Florence, avec des apartés évoquant son passé, ses liens désastreux avec sa mère, sa condition de femme, ses envies, ses sentiments, etc.
Ce roman mêle action, aventure et une larme d’érotisme… attention, là, aussi, rien de choquant pour moi… il y a bien un avertissement au début mais personnellement, je n’ai rien lu qui soit réellement pour public averti (oui, donc, n’allez pas lire cela comme l’histoire du soir).
Alors, oui, j’ai aimé ma lecture, et cela m’a amusé aussi de voir cette emmerdeuse se débatte avec des pirates … Pourtant j’ai trouvé de la facilité dans le récit … mais, en tant qu’auteur, j’anticipe souvent ce genre de livres.
« Le Cirque des Rêves »
Erin Morgenstern
Flammarion
Ce cirque et les personnes voyageant ensemble à travers ce monde fin 19e siècle donne un rythme au récit et ce roman qui se déroule entre l’Angleterre et les USA. Les personnages sont variés, détaillés et l’écriture est agréable, sans trop de difficultés, bien au contraire même si on peut lui reprocher une faiblesse sur la fin.
Disons le tout de suite, le héros du roman c’est le cirque... Ne vous attendez pas autre chose…
Mon avis est mitigé (oui, oui, encore) et j’ai trouvé le début un peu long (comme la fin)… le côté romance s’éternise et on sent bien le côté « ça va mal finir » de l’histoire.
En définitive, je suis contente de l’avoir lu. Point… rien de plus.
« Les Sept étoiles du Nord »
Disons le tout de suite, le héros du roman c’est le cirque... Ne vous attendez pas autre chose…
Mon avis est mitigé (oui, oui, encore) et j’ai trouvé le début un peu long (comme la fin)… le côté romance s’éternise et on sent bien le côté « ça va mal finir » de l’histoire.
En définitive, je suis contente de l’avoir lu. Point… rien de plus.
« Les Sept étoiles du Nord »
Abi Elphinstone
Gallimard Jeunesse
Oui, j’avais abandonné l’idée de le lire mais j’avais deux jours à tuer avant le 1er novembre et l’ouverture du Black November … donc, ayant abandonné « La couleur oubliée de l’arc-en-ciel », j’ai repris les 7 étoiles.
Le livre, visuellement, est une absolue merveille. Rien que pour les détails, les pages soufflées, la tranche etc., je ne regrette absolument pas d’avoir acheté ce livre ! Bravo à Gallimard jeunesse !
L’univers à l’intérieur est féérique ; forêts et montagnes enneigées, polaires. Les deux enfants, Flint et Eska, et Blu, sont attachants, à la fois forts, et fragiles ; très joli personnage que Blu, d’ailleurs !
Bien sûr, le méchant, est une super vilaine, caricatural, d’ailleurs et certaines scènes sont, pour moi, téléphonées… un peu plates et limite crédibles !
Sinon, l’écriture est agréable, l’histoire est sympathique… mais pas assez pour moi… j’ai aimé ma lecture… et je suis sûre que les gamins de mon entourage adoreront ces aventures polaires !
« Capitaine »
Le livre, visuellement, est une absolue merveille. Rien que pour les détails, les pages soufflées, la tranche etc., je ne regrette absolument pas d’avoir acheté ce livre ! Bravo à Gallimard jeunesse !
L’univers à l’intérieur est féérique ; forêts et montagnes enneigées, polaires. Les deux enfants, Flint et Eska, et Blu, sont attachants, à la fois forts, et fragiles ; très joli personnage que Blu, d’ailleurs !
Bien sûr, le méchant, est une super vilaine, caricatural, d’ailleurs et certaines scènes sont, pour moi, téléphonées… un peu plates et limite crédibles !
Sinon, l’écriture est agréable, l’histoire est sympathique… mais pas assez pour moi… j’ai aimé ma lecture… et je suis sûre que les gamins de mon entourage adoreront ces aventures polaires !
« Capitaine »
Adrien Bosc
Le Livre de Poche
Le postulat de départ est très attirant, pour moi… 1941, fuite, intellectuels, recul sur la situation de l’époque…
La documentation est là, on sent les recherches, la plume de l’auteur (qui avait heurté sur l’excellent Constellation parlant de l’avion dans lequel avait péri, notamment Marcel Cerdan) et on se délecte de la distribution présente… : , André Breton, Claude Lévi-Strauss, Anna Seghers, Victor Serge, Wifredo Lam, etc. excusez du peu… mais aussi des immigrés de l’est, des rejetés du régime de Vichy… toute cette foule traverse vers les USA, avec un arrêt en guadeloupe /martinique…
La lecture est intense et on suit le Capitaine (ce bateau, donc) au départ de Marseille… Il a de la précision, de l’espoirt, des sacrifices, des craintes… les blessures de ces exilés transpirent.
Alors, me direz-vous, quel est le problème ?
Le problème avec ce livre ne vient pas du sujet traité mais de la forme… entre
style journalistique avec accumulation de faits et de longs moments plus « littéraires »… …
Perso, j’ai apprécié ce roman mais, je pense, qu’il pourrait dégoûter et dérouter pas mal de lecteurs.
« Cimetière »
La documentation est là, on sent les recherches, la plume de l’auteur (qui avait heurté sur l’excellent Constellation parlant de l’avion dans lequel avait péri, notamment Marcel Cerdan) et on se délecte de la distribution présente… : , André Breton, Claude Lévi-Strauss, Anna Seghers, Victor Serge, Wifredo Lam, etc. excusez du peu… mais aussi des immigrés de l’est, des rejetés du régime de Vichy… toute cette foule traverse vers les USA, avec un arrêt en guadeloupe /martinique…
La lecture est intense et on suit le Capitaine (ce bateau, donc) au départ de Marseille… Il a de la précision, de l’espoirt, des sacrifices, des craintes… les blessures de ces exilés transpirent.
Alors, me direz-vous, quel est le problème ?
Le problème avec ce livre ne vient pas du sujet traité mais de la forme… entre
style journalistique avec accumulation de faits et de longs moments plus « littéraires »… …
Perso, j’ai apprécié ce roman mais, je pense, qu’il pourrait dégoûter et dérouter pas mal de lecteurs.
« Cimetière »
Gérard Guix
Aux Forges de Vulcain
Étrange livre… un brin atypique, en fait.
Dans cette période non déterminée, Isobel, une jeune femme, pénètre dans un cimetière pour enterrer sa mère ; elle cherche le gardien pour le convaincre car seule la crémation est autorisée. On découvre que cette société interdit aussi la musique, les livres, bref toute activité culturelle.
Ce cimetière est gardé par ce jeune homme mystérieux, Travis, semble toujours entouré du brouillard qui semble protéger les deux jeunes gens... on ne sait pas où est situé le cimetière, qui est le garçon mais il semble avoir des pouvoirs, magiques ou pas, permettant des apparitions… (odeurs par exemple)… même s’il semble sortir d’un autre monde, il est là.
Ce qui étonne, surtout, c’est tous les interdits de la société en fin de course, de cette loi sur l’espace vital (lebenraum : concept géopolitique créé par des théoriciens géographes allemands au XIXᵉ siècle et qui devint particulièrement populaire dans les milieux impérialistes allemands, tels que la Ligue pangermaniste, avant d'être incorporé au nazisme), etc.
Pourtant, on sent une rébellion sous-jacente.
Malgré tout, on se laisse prendre au jeu, à l’avenir d’Isobel, et, à l’issue de la fin, vous réfléchir sur tout le récit… on pense à Orwell, version 3.0, le film AI et les réseaux sociaux, également…
Honnêtement, allez jusqu’à la fin, c’est littéralement mortel et cela ne peut que lancer une discussion sur toute cette oppression ressentie, petit à petit, de manière légère lors de la lecture…
Encore une belle découverte publiée aux Forges de Vulcain…
« Astérix et Obélix et la fille de Vercingétorix »
Dans cette période non déterminée, Isobel, une jeune femme, pénètre dans un cimetière pour enterrer sa mère ; elle cherche le gardien pour le convaincre car seule la crémation est autorisée. On découvre que cette société interdit aussi la musique, les livres, bref toute activité culturelle.
Ce cimetière est gardé par ce jeune homme mystérieux, Travis, semble toujours entouré du brouillard qui semble protéger les deux jeunes gens... on ne sait pas où est situé le cimetière, qui est le garçon mais il semble avoir des pouvoirs, magiques ou pas, permettant des apparitions… (odeurs par exemple)… même s’il semble sortir d’un autre monde, il est là.
Ce qui étonne, surtout, c’est tous les interdits de la société en fin de course, de cette loi sur l’espace vital (lebenraum : concept géopolitique créé par des théoriciens géographes allemands au XIXᵉ siècle et qui devint particulièrement populaire dans les milieux impérialistes allemands, tels que la Ligue pangermaniste, avant d'être incorporé au nazisme), etc.
Pourtant, on sent une rébellion sous-jacente.
Malgré tout, on se laisse prendre au jeu, à l’avenir d’Isobel, et, à l’issue de la fin, vous réfléchir sur tout le récit… on pense à Orwell, version 3.0, le film AI et les réseaux sociaux, également…
Honnêtement, allez jusqu’à la fin, c’est littéralement mortel et cela ne peut que lancer une discussion sur toute cette oppression ressentie, petit à petit, de manière légère lors de la lecture…
Encore une belle découverte publiée aux Forges de Vulcain…
« Astérix et Obélix et la fille de Vercingétorix »
Jean-Yves Ferri et Didier Conrad
Albert René Editions
La fille du célèbre chef gaulois Vercingétorix, traquée par les Romains, trouve refuge dans le village des irréductibles gaulois, seul endroit dans la Gaule occupée à pouvoir assurer sa protection. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que la présence de cette ado pas comme les autres va provoquer moult bouleversements intergénérationnels...
C’est sympathique, comme d’habitude, avec des trouvailles sur les noms, les situations, les ados en rébellion etc. ; nos deux gaulois sont dépassés ou presque et la fin entre les deux fils des marchands/ennemis du village…
Bref, un bon moment, encore… comme d’habitude !
« La Voie Verne »
Jacques Martel
Mnémos Éditions
Alors je l’avais mis de côté lors du Black November par manque de temps (et pour lire le roman suivant reçu en SP).
En résumé : dans un futur proche, plus que réaliste (c’est très très détaillé et recherché au point de vue économique, politique, écologique et sociologique), un mystérieux majordome débarque chez un vieille noble riche et le jeune Gabriel, autiste fan de Jules Verne. A partir de là on part pour un incroyable voyage culturel à travers le temps.
ll y a, enfin, deux romans en un : un récit chronologique dans un monde futuriste peu éloigné du nôtre avec ses usages abusifs, où posséder du papier est presque un crime, et une partie plus réfléchie, plus philosophie ou quasiment..
C’est un texte ambitieux qui brasse d'influences et thématiques car Jacques Martel rend un bel hommage à Jules Verne et y accumule les références aux œuvres et aux personnages emblématiques d de l'île mystérieuse au Nautilius, en passant par le capitaine Némo, Robur le Conquérant ou encore Michel Strogoff.
Ce ne sont pas que des clins d’œil ou des référence, mais carrément des prolongements…ainsi que ce goût de l'aventure et de l'exploration.
Ce roman est agréable mais j'avoue ne pas avoir été réellement autant transportée que je l’avais espéré, mais, mais… si vous aimez Jules Verne, la SF, je vous recommande de ce bon roman !
« Justin Case Bons Baisers
de Moscou »
Jean-Luc Bizien
SP – French Pulp
Ce roman young adult de Jean-Luc Bizien présente un jeune milliardaire, Justin Case (just in case...), qui estime qu'il y a la loi… et la justice. Il parcourt donc le monde pour rétablir la seconde, parfois (souvent) au mépris de la première.
Suite à un sms adressé à Matthew, son parrain, provenant de son ami Quinn coincé à Moscou, Justin s'embarque sur son jet.... direction la Russie.
Entre mafia, services secrets russes, secrets tout courts, passés troubles, hackers, et garde du corps à l'allure de topmodel, Case y débarque afin d'exfiltrer ledit Quinn avec sa logistique perso high-tech.
Cela se lit facilement, vite, sans trop de surprises, avec le schéma type du beau mec, riche, un brin justicier, chevaleresque... aussi dangereux que romantique...
Il fait penser à Largo Winch ou à un lanceur d'alerte qui aurait le compte en banque du patron d'amazon... ou carrément une réincarnation de Jonathan Hart (pour les plus vieux... et l'amour du risque 😁😁). Comme je l'ai dit malgré les facilités et les clichés, on tourne les pages avec plaisir... aussi étrangement que cela puisse paraître.
Vous voulez lire un roman avec un beau mec, qui parcourt le monde et se retrouve face à des méchants, des ogives, des armes redoutables mais gagne à la fin (et pas que la fille 😉)... ce roman est fait pour vous.
Pour The Black November (cf. vidéo pour le point du challenge):
Babylon Berlin de Wolker Kutscher : lu et adoré ! J’ai connu cette histoire grâce à une série allemande… avec un de mes acteurs actuels préférés… et là, le roman graphique est sublime et j’ai retrouvé avec plaisir Gereon Rath !
Alien : Le huitième passager d’Alan Dean Foster : j’ai visionné, de nouveau, pour la énième fois, la série !!!
Démences de Graham Masterton : Non, mais voilà maintenant j’ai la trouille… ah bravo !!!
L'aliéniste de Caleb Carr : j’ai hâte de l’entamer !
Am stram gram de M.J Arlidge : Pic et pic…
Alien : Le huitième passager d’Alan Dean Foster : j’ai visionné, de nouveau, pour la énième fois, la série !!!
Démences de Graham Masterton : Non, mais voilà maintenant j’ai la trouille… ah bravo !!!
L'aliéniste de Caleb Carr : j’ai hâte de l’entamer !
Am stram gram de M.J Arlidge : Pic et pic…
En cours :
« L'armée de l'ombre, tome 1 : L'hiver russe » de Olivier Speltens (Paquet)
« Le Voyage de Marcel Grob » de Philippe Collin Sébastien Goethals (Futuropolis) - NOEL
« Sale temps pour les Allemands » de Christine Schneider (Lucien Souny)
Pour le Cold Winter Challenge
« Les plus beaux contes de Grimm, Andersen et Perrault » - Editions Chantelerc
« Blanche Neige » Louis-Pier Sicard –Editions ADA - Conte interdit
« Miraculeuses plantes d'Hildegarde de Bingen » de Sophie Macheteau (Rustica) –
***
Et vous, vous avez lu lesquels ?
« Blanche Neige » Louis-Pier Sicard –Editions ADA - Conte interdit
« Miraculeuses plantes d'Hildegarde de Bingen » de Sophie Macheteau (Rustica) –
***
Et vous, vous avez lu lesquels ?
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