Voici le thème de Dounia-Joy pour mai : « Un avis sur un livre que l’on vous a
conseillé et pourquoi vous l’a-t-on conseillé ?».
On m’a conseillé ce livre car le titre faisait référence à un poème que j’avais envoyé à la personne conseilleur. Il faut dire que depuis des années, nous échangeons nos références, nos découvertes et autres joyeusetés sur le mode « reprendre la balle au bond ». Notre connivence intellectuelle a toujours été portée sur les livres, la musique, le cinéma, la peinture et, également, sur nos endroits préférés dans le monde.
Donc, quand j’ai pointé un poème, il a pointé ce livre qu’il avait lu, et « partiellement aimé », sans me le préciser avant que je le lise, bien sûr, pour ne pas influencer mon avis. Nous fonctionnons comme cela… Nos avis comptent pour nous et nous apprécions cette complicité et l’opinion de l’autre.
Ce livre évoque la vie d’Emily, qui un matin ordinaire à Manchester, disparaît et refait sa vie à Londres. Elle laisse un mari, un enfant et des amis. Sous sa fausse identité, Emily refait sa vie et préserve sa fuite. Pourquoi ?
Séduite par la quatrième de couverture dont l’histoire me paraissait haletante et intéressante, j’ai apprécié la lecture, assez agréable au demeurant, et cette écriture précise. Cependant, j’ai eu du mal avec le thriller annoncé ! Lors des dizaines de premières pages, je n’ai pas relevé une vraie intrigue ! C’est un peu long malgré que l’idée de départ soit bonne : larguer tout pour refaire sa vie, ailleurs et entretenir le mystère.
Enfin, la troisième partie du roman arrive et j’ai compris où, enfin plus ou moins, l’auteur voulait en venir, pourquoi, comment et surtout l’émotion et l’action se complètent. Bon, j’en conviens, la fin est prévisible, même un peu trop facile, mais le style et les rebondissements sont suffisamment dosés pour maintenir le lecteur dans l’univers que Tina Seskis a créé.
Évidemment, il me l’a conseillé avant tout car il sait que j’aime Londres, le nord de l’Angleterre (même si mon cœur bat pour Liverpool et non Manchester) et que ce côté « je me tire, je planque tout » pourrait me convenir.
Lorsque j’ai évoqué le « vrai » choix de cette recommandation, j’ai entendu une raison étonnante mais, somme toute, assez vraie : « Tu aurais été capable de mieux faire et surtout, tu es tout à fait capable de partir, comme cela ; Tu y as songé, non ? ».
Pourquoi arrive-t-il à lire dans mes pensées ? Ça m’inquiète !
Donc, quand j’ai pointé un poème, il a pointé ce livre qu’il avait lu, et « partiellement aimé », sans me le préciser avant que je le lise, bien sûr, pour ne pas influencer mon avis. Nous fonctionnons comme cela… Nos avis comptent pour nous et nous apprécions cette complicité et l’opinion de l’autre.
Ce livre évoque la vie d’Emily, qui un matin ordinaire à Manchester, disparaît et refait sa vie à Londres. Elle laisse un mari, un enfant et des amis. Sous sa fausse identité, Emily refait sa vie et préserve sa fuite. Pourquoi ?
Séduite par la quatrième de couverture dont l’histoire me paraissait haletante et intéressante, j’ai apprécié la lecture, assez agréable au demeurant, et cette écriture précise. Cependant, j’ai eu du mal avec le thriller annoncé ! Lors des dizaines de premières pages, je n’ai pas relevé une vraie intrigue ! C’est un peu long malgré que l’idée de départ soit bonne : larguer tout pour refaire sa vie, ailleurs et entretenir le mystère.
Enfin, la troisième partie du roman arrive et j’ai compris où, enfin plus ou moins, l’auteur voulait en venir, pourquoi, comment et surtout l’émotion et l’action se complètent. Bon, j’en conviens, la fin est prévisible, même un peu trop facile, mais le style et les rebondissements sont suffisamment dosés pour maintenir le lecteur dans l’univers que Tina Seskis a créé.
Évidemment, il me l’a conseillé avant tout car il sait que j’aime Londres, le nord de l’Angleterre (même si mon cœur bat pour Liverpool et non Manchester) et que ce côté « je me tire, je planque tout » pourrait me convenir.
Lorsque j’ai évoqué le « vrai » choix de cette recommandation, j’ai entendu une raison étonnante mais, somme toute, assez vraie : « Tu aurais été capable de mieux faire et surtout, tu es tout à fait capable de partir, comme cela ; Tu y as songé, non ? ».
Pourquoi arrive-t-il à lire dans mes pensées ? Ça m’inquiète !
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