Depuis la parution de
Liverpool Connexion, j’ai eu quelques retours sur le roman (pour l’instant,
tous positifs, mais attendons un peu le revers de la médaille !) ;
Et
parmi, les retours, un lecteur (non, je te rassure, ma Lila, l’anonyme n’a pas - encore- lu ou commenté mon roman !) m’a demandé quelles étaient les chansons du
roman. Il précisait, en effet, que l’ensemble du roman lui avait semblé avoir
été écrit avec une bande son et qu’il était curieux d’entendre les morceaux
choisis par l’auteur.
Il mentionnait ceux
évoqués (Blur, Muse, Noir Désir) et pensait (à raison) que d’autres étaient
tout aussi importants pour l’ambiance « délétèrement jouissive » (je cite en rougissant) de ce roman.
Je m’exécute donc…
Comme il faut bien que
vous les entendiez, je vais mettre les liens YouTube de chaque chanson avec le
plus de précisions concevables sur le pourquoi du comment. Sachant que les
paroles, chez moi, sont aussi importantes que la mélodie…
1ère
partie :
Deux chansons peuvent
être, autant pour la mélodie que pour les paroles, qualifiées de « Chansons du roman » :U2
« Stay » & Muse « Apocalypse Please ».
Listing
par ordre d’apparition dans (ma)
la
B.O
Titre
intro : Apocalypse Please – Muse
Déjà le titre était
parfait et les paroles, même simplistes par moment, sont comme une extension de
ma pensée en écrivant. L’ambiance musicale était suffisamment oppressante pour
que j’adhère à ce morceau immédiatement.
1.
Douce
France – Charles Trenet
L’histoire de Liverpool
Connexion n’est pas légère ; Honnêtement, il y a plus de noir que de blanc
dans mon texte et, avoir cette petite douceur dans la tête, cela pouvait
présager du meilleur pour l’écriture de la fin. En sus, le retour « aux
sources » de mes personnages faisait que Douce France était une
obligation.
2. Green Fields – The Good The Bad and The Queen
Il faut imaginer
quelqu’un, le front collé à la vitre d’une voiture qui roule avec un but
précis, particulièrement peu engageant, qui admire la beauté du paysage. C’est
cette musicalité que j’ai aimée dans ce titre.
3. The Seventh Stranger – Duran Duran
Même explication que The Good The Bad and The Queen.
La musicalité. Le côté oppressant des arrangements. Ce
côté étrange et suave (mais dérangeant).
4. The Age of the Understatement – The Last Shadow Puppets
Il y a tout dans le
titre et dans les paroles. Cet état d’esprit sied parfaitement à un des
personnages et le crescendo du titre est juste idéal pour écrire et d’imaginer
la scène.
5. All I Want is You – U2
C’est clair pour tout
le monde, ou je développe ? Tout ce que je veux, c’est toi. A écouter les
paroles, on comprend vite où l’auteur veut en venir à ce passage à Belcastel
(ça y est, j’en vois qui ne suivent plus !).
6. Ave Maria – Placido Domingo
Une traversée de nuit,
une lumière pénétrante mais pâle et la voix de Domingo pour couvrir les
battements de cœur.
7. Back Out – Muse
C’est la mélancolie de
cette chanson que j’aime. Le côté fataliste aussi.
8. Danse Hongroise n°1 – Brahms
Evidemment. Enfin pour moi !
9. Hallelujah – Jeff Buckley
Idéalement, cette
chanson aurait pu être une des deux principales, si l’un des personnages
n’avait pas décidé de trahir l’autre.
A suivre ......
Was quite a nightmare to listen to Muse night&day...
ReplyDelete<3 you
You bet (You Look On The Dancefloor !... *joke*)... <3 ya 2 !
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