Parmi
les livres lus le mois dernier (et même les mois derniers), voici ma
P.A.L. :
Diane
Ducret « Les Indésirables » :
Diane Ducret fait désormais partie
des écrivains que je suis automatiquement et dont j’achète le livre avant même
de lire le résumé….
Ce destin de ces deux femmes, et des nombreuses autres que
l’on croise au fil des pages, est émouvant et reflète une réalité bien sinistre
mais assez mal connue, encore. La persécution, les lueurs d’humanité, la
solidarité malgré l’horreur, le racisme, l’amour, l’amitié et cette envie de
vivre, de survivre…
Diane Ducret nous rend complice et soutien moral de ces
« indésirables » qui n’ont de nom qu’à travers l’imbécilité et la
haine des autres. Livre intense.
Merci à elle d'être si aimable avec ses fans qui couinent discrètement !
Theresa
Révay « La Louve Blanche » :
Le début du roman est prenant et
cette jeune fille blanche contre les rouges (l’aristocratie contre les
bolchéviques) nous entraîne dans la Russie des Tsars en proie, très vite, à la
révolution et à l’exil… puis les rencontres à Paris ou Berlin se succèdent, le
côté romanesque apparaît et tout va pour le mieux… Jusqu’à la moitié du livre.
Cela s’étale ensuite, l’histoire s’étire, trop, et je dois avouer avoir sauté
des pages tellement j’avais l’impression d’un déjà lu précédemment. Les
invraisemblances passent souvent dans ce genre de roman mais pas quand le trait
est trop forcé. Je n’ai pas cru cette histoire vers la fin…
C’est dommage,
j’aurais aimé une fin plus tragique (ou plus guimauve) mais un peu plus rapide…
Tania
Crasnianski « les enfants des nazis » :
Toujours dans mon
cheminement de comprendre, d’assimiler, cette période de l’Histoire, je lis
tout ce qui me tombe sous la main.
Depuis mes dix ans, cela est devenu une
habitude compréhensible pour mes proches, moins pour les autres.
Là, ce livre
évoque, au travers de portraits courts, le poids du nazisme sur les épaules des
enfants de certains dignitaires du régime. Qu’ils aient été broyés par
l’horreur, qu’ils fassent amende honorable, ou qu’ils souhaitent continuer à
honorer la pensée de leurs pères, les histoires nous renvoient à notre
perception de l’horreur, de l’héritage, du poids de l’Histoire, du devoir de
mémoire et la vision que nous avons de nos propres parents.
Relecture
Henri Troyat « Le pain de l’étranger »
parce qu’il est à relire,
toujours…
J'ai repris mes petites habitudes (faire un stock de livres) et écrire en même temps...
Autant dire que les fans de l'auteur que je suis (oui, j'en ai !) et mes relectrices habituelles attendent l'arrivée du volet 3... d'ici mi-juillet, les filles, promis !!
La P.A.L. de cet été est, comme dire, fournie...
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