Monday, June 22, 2015

Présentation de mon nouveau roman - ComRom - : Noble Semaine(s) En Famille(s)




Depuis mon interview radiophonique diffusée sur YouTube et le blog, certains m’ont demandé quelques renseignements complémentaires… 



Comme je le disais lors de l’interview, ce roman c’est la faute à Meilleure Amie. 



Retour sur la base historique : en 2008, Meilleure Amie lassée (je la comprends depuis plus de vingt ans) de lire que des « trucs glauques pas romantiques pour trois sous » m’a mis au défi de lui « pondre » une histoire « romantique pour une fois, merdus ! Fais un effort ». 



Bien sûr, cela m’a pris deux ans pour comprendre que je pouvais écrire un truc « romantique » ; Surtout que d’autres romans se bousculaient au portillon (de mon cerveau). 










N’allez pas croire que je sois une fille sans cœur, mais le côté « genou à terre, cœurs partout, déclaration d’amour enflammée et publicité 4x3 avec un JETAIME et chanson d’amour guimauve à l’appui », ça n’est absolument pas ma vision d’une histoire d’amour. 

Chez moi, tout ceci doit se faire en privé, en petit comité (lire en tête à tête) et si demande en mariage il y a, merci de ne pas convoquer la presse, la famille, les amis, les voisins et les amis de passage. 





Un simple « bon, tu voudrais pas m’épouser l’année prochaine ? » pendant Game of Thrones (Mafiosa, Engrenage, The Big Bang Theory, Hannibal, etc.) devrait me faire dire « Oui, bien sûr. Par contre, éteins ton iPhone, la lumière réfléchit sur Jon Snow ! ». 


Bref, bref, quand on sait que je soupire comme une « débile » devant les trois films suivants (en fin de papier les bandes annonces histoire de m’enfoncer !) : « Penelope », « Persuasion » et l’immuable « Bright Star », on imagine bien que le côté écrit-romantique peut se concevoir… 


Alors, Noble Semaine(s) En Famille(s) en résumé, c’est ça (quatrième de couv’) : 


« Charlotte, avocat et conseiller spécial d’un Lord anglais, se voit contrainte de cohabiter, en pleine tempête de neige du siècle, avec les deux familles (l’officielle et l’officieuse) après la mort de ce dernier. Une série de quiproquos, de disputes oniriques, de courses poursuites fantomatiques et hallucinantes dans le château, et le stockage d’un Lord mort, vont rendre la tâche de l’avocate et du notaire de la famille, particulièrement difficile. 

En outre, l’ex It-girl, multi-divorcée, provoque l’émoi parmi les fils du Lord et, contre toute attente, s’amourache du cadet de la famille officielle, un vieux garçon élevé dans les jupes de sa mère. 

Royale hystérie en perspective ! » 


Eh, là, je sais qu’il y en a pour dire « c’est sûrement pas aussi simple que cela en a l’air ! »… 


Gagné ! 

Oui, quand j’ai écrit ce roman en 2010 (je précise au cas où certains ne comprendraient pas que j’ai évolué dans mon écriture romantique depuis), le postulat de départ était simple : 

une histoire d’amour, un peu guimauve mais qui tienne la route. 

J’ai donc ajouté à cela un contexte sympa et simple (une tempête de neige clouant tout le monde au fin fond de l’écosse pendant quelques longues semaines), des personnages un peu étonnants (une comtesse raide comme la justice, des fantômes irlandais, un notaire trouillard, etc.), deux familles opposées mais surprenantes et deux protagonistes principaux qui ne se seraient jamais aventurés ensemble sans la tempête. 


Car entre Charlotte, jeune femme au caractère trempé, fêtarde mais bosseuse, et Andrew, gentil garçon poli, pas trouillard mais inexpérimenté, ça frôle la rencontre du siècle. 



Je suis partie du constat de départ que, quelque fois, on rencontre la bonne personne, que cela est évident depuis le premier regard ; Arrive ce qu’il doit par la suite, mais l’histoire reste bien ancrée dans le cœur. 


Je mentirai si je disais que je ne connais pas un ou deux personnages intimement, mais justement, c’est là le plus drôle de l’histoire… j’ai écrit ce roman en 2010 pas en 2015. 


Meilleure Amie a bien évident « adoré l’histoire d’amour » largement moins « la fin, merdus ! ». Ô Agent a mis son grain de sel aussi pour la fin et B a trouvé cela « juste, bien ancré dans la réalité, et bon, pour la fin, je me doutais bien au vu de tes écrits précédents ». 



A vous de voir (lire) si cette histoire d’amour en est une au final ! 



Ah, oui, la playlist promise, 
dans l’ordre d’apparition dans le roman (de la dédicace à la fin)…



Je rappelle que je tiens compte des paroles pour la bande-son de mes romans, en l’occurrence, toutes ces chansons suivent le cheminement des deux amoureux… 


Arctic Monkeys « I Bet You Look Good On The Dancefloor » 

Duran Duran « Come Undone » 

Gorillaz Feat. Little Dragon «To Binge » 

The Divine Comedy « Have You Ever Been In Love » 

Cutting Crew « (I Just) Died In Your Arms » 

Katy Perry « Thinking Of You » 

Blur « No Distance Left To Run » 

Ella Fitzgerald / Louis Armstrong « You Won’t Be Satisfied (Until You Break My Heart)» 

Richard Wagner « Tristan und Isolde – Prelude Act I »






Oui, bon, ça va, je les mets les bandes- annonces !


"Penelope" (eh oui, c'est aussi pour James McAvoy... merci mon Audrey !)




"Persuasion"




"Bright Star" (oui, Meilleure Amie, je trouve Ben Whishaw CHOUPINET !)




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