Showing posts with label Nada Surf. Show all posts
Showing posts with label Nada Surf. Show all posts

Tuesday, January 28, 2014

Quand Nada Surf fait une cover de Depeche Mode... je passe

en mode "hystérie blurienne" (c'est tout dire pour ceux qui me connaissent !)...

Nada Surf "Enjoy The Silence" 




Wednesday, May 08, 2013

Chanson du soir .... Spécial Nada Surf... évidemment !



Suite au papier de ce jour, voici une chanson supplémentaire.....


Nada Surf "Popular" ... Vous pensiez vraiment que j'allais l'oublier celle-là !!!!




Les 6 groupes de Lisa - 2ème Partie.... Nada Surf

Premier épisode : The Coral



J’enfonce une porte ouverte quand je dis que Nada Surf c’est avant tout pour 99% de la population le groupe de « Popular ». Of course !

Compte tenu du hit de ce single, c’est normal. Cependant, Nada Surf a produit d’autres albums, d’autres morceaux largement meilleurs et différents de « Popular ». En sus, ils se produisent généralement dans des salles à taille humaine avec leurs fans (et quelques égarés passés par hasard ou menacés de mort s’ils ne viennent pas avec le fan.. Hein, Meilleure Amie ?).

Pour ma part, j’ai stoppé net dès l’écoute de leur premier album et, depuis, je suis fan. J’adore leur énergie, leurs paroles, ce côté francophile et l’humilité qui se dégage du combo. Caws fait partie des rares qui arrivent à m’émouvoir par une chanson et me donner des frissons à chaque écoute.

Alors ils ne sont pas vraiment populaires (au sens célèbre du mot) mais méritent nettement une écoute attentive...

Nada Surf pas que populaire !

 … la preuve par six (mes six…)




Inside of Love : Comme je l’ai dit, les paroles (et la musique…) comptent énormément pour moi. Et cette chanson me parle depuis la première écoute. Souvent j’ai eu l’impression que Nada Surf (essentiellement sur cette chanson) avait branché un micro sur la partie de mon cerveau qui gère les sentiments très privés…







Killian’s Red : J’ai toujours eu un faible pour cette chanson. Premièrement parce que le nom m’évoque quelqu’un que j’ai aimé énormément et qui me manque tous les jours davantage depuis 2007 ; Ensuite parce qu’il y a une certaine nostalgie dans la mélodie et enfin, parce que l’ambiance sonore me sied parfaitement.






Pressure Free : Une face B, mais quelle face B !!! Je l’ai écoutée en boucle pendant des semaines quand j’écrivais un de mes romans. Elle était juste parfaitement adaptée à une scène et a fini dans « ma bande son » définitive. Le titre devrait être mon motto, mais je n’ai pas encore compris comment faire pour enlever la pression de mes épaules ! Une idée ?







Blizzard of ’77 : Que dire sur cette chanson hormis qu’elle me rappelle un certain hiver, un endroit précis dans les Alpes et deux personnes qui skiaient avec moi… tout simplement.





Icebox : Juste une question de sentiments pour celle-là.. No comment.





Waiting for Something : J’attends toujours quelque chose… parce que si je n’attendais rien, si je n’étais pas curieuse de la vie en général et des autres en particulier, la vie sera d’un terne à s’enfouir profondément en attendant le blizzard (ha !). Alors, oui, I’m waiting for something… Espérant que cela ne dura pas éternellement !










La suite..... les numéros 4 : R.E.M.



Friday, March 22, 2013

Chansons du soir ... Version weekend "salon du livre"

Allez quelques chansons pour ce soir...

avec un petit clin d'oeil à un groupe dont je fais la chronique pour Lords of Rock... (ça paraît bientôt !)..

Le clip est plein d'humour et excellent ... (et la musique... c'est juste... un bonheur !)

Kursed - Teaser de leur album MIAOW - Miaow... je confirme !


Kursed "Tsa Tsa Tsu" ... P***** ça c'est du clip !!! Regardez jusqu'à la fin... 





Nada surf - session complète à KEXP From The Triple Door 2/2/2012  - Une envie en traversant Paris en métro avec mes potes auteurs.... J'ai entendu cette chanson "Waiting for Something" dans ma tête (oui, je sais, cela ne va pas mieux !)






Monday, November 19, 2012

Quelques spécimens repérés en concert !


D'ordinaire, je passe un peu sur ce genre de détails…. 

En concert, je le sais, il y a moult façons de vivre un concert et autant de personnalités qui cohabitent….

Mais, là, mercredi 31 octobre, lors du concert de Nada Surf au Cabaret Aléatoire, j’ai bien failli piquer une crise…

En l’occurrence, ma meilleure amie et moi étions à deux doigts de sortir manu militari les trois imbéciles devant nous (et donc qui nous (me) gâchaient le paysage… la vue du Caws et sa bande !) qui n’ont pas eu de cesse de papoter, boire et dodeliner de façon incompréhensible (aucun sens du rythme !).

Je me suis demandée pourquoi ils étaient là, plantés à deux mètres de la scène, à bavarder de choses hautement philosophiques (sujet évoqué et entendu : le changement des pneus pour l’hiver ! Je rêve !), au lieu de dégager vers le fond de la salle et rester accoudés au bar !

La même chose s’est produite lors d’un festival cet été. Mais le principe du festival est d’ambiance un peu folklorique et de franche camaraderie !

Cela m’a donné l’idée de ce billet sur les spécimens rencontrés récemment  en concert :

  1. Les amoureux : Bon, visiblement, ceux-là ne sont pas venus pour le spectacle, ou alors pour une chanson (leur chanson, et dans ce cas précis, cela dégénère !), et ils passent leur soirée à s’embrasser, se lover l’un contre l’autre, au grand désespoir des spectateurs postés derrière eux, qui ondulent en fonction de leurs mouvements de bassin. Lorsque leur chanson arrive, c’est les yeux dans les yeux, corps contre corps et on appelle les pompiers pour calmer l’incendie ! En attendant, ceux de derrière essayent tant bien que mal de survivre au spectacle a fortiori s’ils sont seuls !
  2. Le grand con qui ne bouge pas (ou mal) : il arrive, l’air perdu (s’est-il trompé de concert ?), regarde l’air hagard l’assistance, se meut au centre de la fosse (oui, il ne s’assoit pas en concert, lui !), et se poste devant vous. Evidemment, avec vos 1.60 en Converses®, il vous dépasse de vingt-cinq centimètres (minimum) et vous avez l’impression qu’il est branché sur votre cerveau à la façon qu’il a de bouger dans le même sens que vous ! Rien y fait, votre tentative d’avancée se solde par une saillie de la bestiole qui reste immuablement devant vous ! Du coup, à la fin, vous avez aperçu le chanteur trois fois, jamais le guitariste, et vous avez la vue dégagée sur le t-shirt fripé du grand con. Super !
  3. Le grand con qui bouge : même syndrome que le précédent mais avec une variante de poids : ce con bouge en cadence. Que dis-je ? Il gesticule, sautille (à contretemps), agite la tête, les bras, les cheveux, les jambes et plus si affinités ! Il vous empêche au mieux de voir la scène, au pire, vous vous prenez un coup à chaque mouvement. Vous ressortez de ce combat avec des bleus partout, un appareil photo en miettes et vos potes hilares (ceux qui sont allés s’assoir au balcon).
  4. La fille qui est là pour flirter : déjà, dans un concert (sauf à l’Opéra ou à de très rares occasions) et, a priori, quand on va dans un concert dans un lieu un peu « désaffecté », on ne met pas, si on est une fille, une jupe hyper méga courte, des talons de 12 et encore moins un bustier… ou, alors, on rêve de recruter un mec dans l’assistance (ou un des membres du groupe). Là, elle était toute mignonne la petite blonde avec sa micro jupe, ses talons compensés de 15 et son t-shirt moulant échancré sur tous les bords, sans compter son joli minois, mais honnêtement, à part déambuler de droite à gauche de la scène en lançant des œillades à tous les mâles de l’assistance, elle en a vu quoi du concert ? En sus, elle a trébuché à la sortie, bien aidée en cela par une grande bringue brune en jeans et Dr. Martens accrochée à son mec !…. Hum…
  5. Celle ou celui qui chante à tue-tête avec des paroles de son choix : non seulement, il est au front row, heureux, avec t-shirt du groupe, bracelet du groupe, tronche copié sur un des membres du groupe, avec pleins de petits clones de lui-même autour, mais il est surtout celui qui vous regarde bizarrement quand vous entonnez a capella « sa chanson ». Il vous fusille du regard et quand arrive le groupe sur scène, il hurle à la mort. Le problème ? C’est sa facilité à chanter en yaourt, ou avec des variantes, les titres moins connus. Ah, oui, j’oubliais, c’est un fan sans l’être vraiment. Il connait les titres les plus connus, mais les autres, pff…. Pas de souvenance ! Alors, il baragouine un peu et hurle beaucoup ; Du coup, vous perdez le fil de votre chanson et attrapez le fou-rire du siècle sous l’œil furax (et charbonneux) du bassiste.
  6. Le type qui accompagne uniquement : déjà, dès son arrivée, il n’a vérifié qu’une chose : les issues de secours. Puis, il s’est renseigné « cool » sur la durée du concert, a soupiré et a suivi le mouvement de son comparse de la soirée : le fan qui attend ce concert depuis trois siècles et, est en boucle depuis deux mois. Sympa le copain est venu l’accompagner au « concert du millénaire » mais il s’emmerde royalement. Il a bien essayé au début du concert de trouver quelconque intérêt à la voix du chanteur, mais non. Il baille à intervalles réguliers et semble à deux doigts de s’évanouir au troisième rappel ! D’ailleurs, il sera le premier sorti de la salle à tirer sur sa cigarette (la dernière ?).
Je suis d’accord, il y en a pleins d’autres (la groupie hystérique, le gros naze qui vous met la main aux fesses, votre mec qui râle, votre copine qui est jalouse, le blaireau qui ramasse les tickets, le bassiste qui est à deux doigts de vous vomir dessus, le chanteur qui vous embrasse en backstage, etc.) ….

 Un autre billet, peut-être ?

Vous pouvez lire aussi le papier de Wenine sur le sujet ! Il est excellent !!!!!

Thursday, November 01, 2012

Mini chronique du concert de Nada Surf....


En parallèle de la chronique officielle sur Lords of Rock (oui, oui, je bosse, moi, y compris les jours fériés !), il faut bien avouer que Matthew Caws, Daniel Lorca et Ira Elliot sont toujours au top depuis plus de quinze ans, et qu'is soulèvent leur public toujours plus haut avec un rock endiablé, énergique, honnête et sans artifice.... 




Ils étaient hier en concert au Cabaret Aléatoire (salle incroyable proche d'une ambiance hangar désaffecté !) à Marseille.... 




En live, cela donne cela.... Parmi mes préférés : Blankest Year et Inside of Love.... Si vous écoutez les paroles, vous aurez tout compris !




















INSIDE OF LOVE NADA SURF CABARET ALEATOIRE OCT 31 2012 MARSEILLE

Wednesday, October 31, 2012

Nada Surf en concert.... un pur bonheur - Ce soir ....


Je pense avoir déjà évoqué Nada Surf dans un des nombreux bulletins sur la musique. Le fait est que ce soir, je vais les voir en concert et que j’ai juste envie de signaler quelques unes de leurs chansons.
Tout le monde reconnaîtra « Popular » évidemment mais ce rock indie américain avec cette belle touche de pop et des textes vaut plus que ce titre emblématique et non conforme à l’étendu de leur talent.
Francophiles, Nada Surf plonge (ha !) dans les références culturelles des deux pays (USA et France) avec délectation.
Leur son est énergique mais conserve ce côté power pop qui leur sied à merveille.
Ecoutez un peu, cela donne cela !
















Tuesday, October 30, 2012

nada surf, cabaret aléatoire, 31 octobre, marseille... A ne pas manquer

Nada Surf c'est tout un bonheur live....

Ils seront au Cabaret Aléatoire à Marseille le 31 octobre 2012.... oui le soir d'halloween...

Alors n'hésitez pas, venez écouter !





Sunday, October 28, 2012

Nada Surf et ma meilleure amie.....

Cela promet pour mercredi 31 octobre.....

Elle n'a toujours pas compris que c'était du rock alternatif et très pop-indie...

Heu, comment lui expliquer ???

Autant lui dire que c'est plutôt cela (cover de  Depeche Mode)... Elle verra bien toute seule :)








Friday, October 05, 2012

Les hommes qui m’ont sauvé la vie (musicale, s’entend !)


La musique et moi, c’est une vieille histoire d’amour. Dans ma famille, c’est quasi obligatoire. Tout le monde a son morceau, son artiste, son concert préférés. C’est vital.


En naissant, mes parents étaient déjà plongés dans la musique et chantonnaient tout le temps (surtout ma mère). Ils avaient grandi dans les années soixante et, donc, avec les références suivantes : The Beatles, The Rolling Stones, The Kinks, The Beach Boys, les Yéyés. Bref, que du lourd (pour les quatre premiers).

Pas étonnant que ma berceuse fût « God Only Knows » de The Beach Boys et que, même maintenant, cette chanson me tire des larmes et une nostalgie à couper au couteau.

Dans les années soixante-dix, ils ont évolué vers le disco, les variétés françaises et ont ajouté, quand même, d’autres groupes de références (The Door, The Specials, Madness, The Sex Pistols, The Police). J’ai donc ingurgité ces groupes tout en écoutant avec mes grands-parents les classiques français, anglais et américains des années vingt à quarante ainsi que du classique et des opérettes (Ah ! Les Trois de la Marine !).

Je hurlais « Our House » ou « God Save the Queen » régulièrement dans ma chambre tout en chorégraphiant Cloclo sur « Alexandrie, Alexandra » (oui, référence ultime des petites filles de l’époque !).

Je n’ai pas une culture musicale immense (je n’ai  jamais appris à jouer d’un seul instrument, un comble !) mais elle est, sans aucun doute, éclectique. Jusqu’à mes onze ans, j’ai été baignée dans la musique parentale sans trop me poser de questions sur mes goûts propres.

Mais deux rencontres auditives ont changé ma vision de musique : Depeche Mode et Duran Duran.
Oh, je vous entends d’ici « Duran Duran, la honte, ma pauvre fille ! ». Pensez-vous ! C’était hyper tendance au début des années quatre-vingts !

Reprenons ! Quand j’ai entendu Depeche Mode (version Vince Clark/Martin Gore à la création), j’ai défailli. C’était tellement ce que je voulais entendre. Duran Duran a enfoncé le clou avec son « Girls on Film » et « Rio » a fait éclater les dernières barrières.

J’ai plongé dans la « fanitude Duranesque » (oui, oui, il y avait un terme pour désigner les fans des Duran. Notez bien… « Des Duran »).

La période New Wave a duré presque toute la décennie au grand dam de mes parents qui ont vu leur fille se transformer en clone de Morticia Adams avec des petits copains ressemblant vaguement – ou pas – à Robert Smith (The Cure), John Taylor (Duran Duran) ou Dave Gahan (Depeche Mode) ou en fin de décennie à River Phoenix.

Je faisais partie d’une grande famille de fans en tous genres qui rassemblent ceux d’Etienne Daho, Indochine (déjà), Max Valentin, les Innocents en passant, principalement, par les groupes anglo-saxons. Il y avait des fanbooks (petit livret où tout le monde mettait son nom, son adresse et ses préférences et l’envoyait à ses contacts pour faire une chaîne). J’appartenais à deux « familles » : celle des Duran qui s’est vite entremêlée avec celle des fans de mode (et ainsi des collecteurs des supermodels). C’était une belle époque d’insouciance et d’engraissement de La Poste (timbres, enveloppes, paquets, etc.). J’ai dû fournir du travail au bureau de poste de mon quartier pendant des années (à raison de dix lettres par jour et autant à l’envoi… voyez un peu la démesure et l’argent dépensé !).

Mais je ne regrette rien. J’ai touché du doigt l’internationalité de l’univers et j’ai connu des amis très chers à cette époque qui sont toujours là, proches et fidèles.

Mais l’insouciance n’a qu’un temps. Je me disais que je ne pouvais pas suivre un groupe comme Duran Duran après leur « Big Thing ». Cela ne correspondait plus avec ce que mon oreille aimait désormais. J’aimais découvrir, grâce à un copain américain, le rock alternatif de R.E.M. et la voix sublime de Michael Stipe. A ce moment-là, j’ai basculé du côté rock de la pop. J’ai abandonné mes Duraniques pour une autre planète.

Puis, au printemps 1990, j’ai reçu une cassette audio (oui, oui, audio !) que mon petit copain de l’époque m’envoyait régulièrement en compilant les titres d’Outre-Manche qu’il aimait ou avait entendus dans les concerts auxquels il se rendait hebdomadairement. Sur l’une d’entre elles, une voix et un son de guitare m’ont bouleversée (pour la petite histoire, le morceau s’appelle (ait) « She’s So High »).

Comment l’expliquer ? Cela ne fut même pas clair à l’époque. J’ai attrapé le téléphone familial (au risque de faire exploser la note mensuelle … oui, l’illimité n’existait pas !) et je lui ai demandé qui était ce groupe. Il a dû galérer deux bonnes semaines (pendant lesquelles je le harcelais !) pour retomber par hasard sur le groupe en question en concert. Il m’a annoncé un tonitruant « Le chanteur est un petit con prétentieux, bourré mais beau gosse » et le nom du groupe « Blur ». Cela en était fini de ma tranquillité musicale (et mentale). J’étais « amoureuse » du son. Et quand je les ai vus sur scène quelques semaines plus tard, j’ai décrété « C’est le groupe de ma vie ». Mon copain était mort de rire et s’est gaussé pendant des mois, jusqu’à ce que le « petit groupe de minets » (comme il les surnommait) explose en Angleterre et enchaîne les albums, tournées, singles et j’en passe.

Au mois de juin dernier, j’ai fêté mon vingt-deuxième anniversaire d’amour blurien. Blur a survécu dans mon petit cœur, pas mon mec de l’époque !

En marge, j’ai toujours écouté d’autres groupes, chanteurs avec une tendresse particulière pour Nada Surf que j’ai découvert, comme tout le monde, avec « Popular », mais qui vaut mieux que ce titre populaire (jeu de mots idiot).
En 2006, en surfant sur MySpace, mes petites oreilles chercheuses sont tombées en arrêt sur le son et la voix d’un groupe qui était diffusé par ses fans. Leur nom m’a plu tout de suite : Arctic Monkeys. Leur allure ? Aucune idée pendant des mois. J’aimais leur son, le phrasé du chanteur et leurs titres survitaminés. Deuxième coup de cœur en moins de quarante d’existence sur la planète Terre.

Depuis cette date, j’alterne l’hystérie blurienne et celle sur Arctic Monkeys, sans me limiter aux autres parutions.

Pourtant, je peux le dire aujourd’hui, Blur et Arctic Monkeys sont les deux groupes les plus importants de ma vie. Eux seuls arrivent à me rendre heureuse, triste, euphorique, débile (quand j’écoute un morceau en boucle pendant des semaines jusqu’à l’écœurement !) et sereine.

La musique, la musique, la musique… Quand elle est bonne, bien sûr ! Merci donc à Brian Wilson, Johnny Cash, Claude François, Dave Gahan, Martin Lee Gore, Simon Le Bon, Etienne Daho, et Michael Stipe.

Un énorme et respectueux merci (avec plein de bisous autour) pour Damon Albarn, Graham Coxon et Alex Turner.



Le blog d'une ItemLiz Girl

Newsletters !

Les Archives