Avant mon hystérie de
décembre (attendez-vous à des décorations « idiotes » pour le TOP3 de
décembre ! La dingo de Noël est de retour bientôt !), voici mon TOP3
du mois de novembre…
Vernis Mavala
« Black Oyster »
Dire que j’ai couiné
comme jamais devant le stand Mavala serait le moins
« honteux » ; En réalité, j’ai sautillé devant ce flacon devant
les yeux mi- effarés mi- réprobateurs (pour ne pas dire dédaigneux) de la
démonstratrice d’une marque concurrente.
Après des années de
recherche d’un beau noir, j’avais entre les mains THE NOIR que je voulais…
Black Oyster est un noir
avec ce côté argenté d’une huître.
Oui, dit comme cela,
l’envie de passer votre tour vous vient immédiatement, mais une fois posé, pas
de doute, ce vernis est juste sublime… Hyper classe tout en étant un peu
« décalé » et rebelle (sans cause).
Il est utile cependant
d’avoir un bon dissolvant, car pailleté veut dire « l’horreur pour
l’enlever ».
Pour moi, c’est le
Mavala, bleu. Toujours : efficace, doux, sentant bon (pour un dissolvant),
bref, l’idéal.
Écharpes
Dès que j’ai vu les
températures baisser sensiblement
(enfin, dans une zone où on ne peut plus sortir en t-shirt !), j’ai foncé
dans mon placard, et j’ai ressorti toutes mes écharpes !
Le bonheur !!!!
Remettre des pulls, des
écharpes, des bonnets, des gants… et mes blousons d’hiver…
J’espère toujours que le
froid attaque un jour la cité phocéenne pour sortir mon manteau trop chaud pour
des températures « normales » pour moi (à 8°, moi, je me contente
d’un blouson et d’une écharpe chaude)…
Je suis capable de partir
de la maison avec un t-shirt et une écharpe XXL pour le plaisir de la porter
(qui a dit dingo ?)…
Micro
Comme vous l’avez
peut-être lu sur mon blog, j’anime une émission de radio deux fois par mois…
Je subodore que vous avez
autre chose à faire qu’écouter mes conneries un lundi tous les quinze jours à
11h (rediff le samedi suivant)…
Afin que je puisse le
faire, j’ai un micro avec son araignée (j’adooooooore ce terme !) et je
parle.
Rien de transcendant…
J’ai un logiciel
(puisque je ne peux pas faire des aller/retour en Périgord Vert tous les quinze
jours), j’enregistre dans le cadre du direct (donc, bonjour les lapsus, les
mots pour d’autres et ma voix de canard idiot de temps en temps !)… mais
le plus drôle est la partie musicale ! Pouvoir diffuser « sa »
musique, c’est un plus et un vrai privilège.
Pour cela, merci à
Liberté FM pour m’avoir offert cette opportunité.
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