Suite aux dernières séries vues, je continue mon visionnage intensif !
Et dire que j’hésite encore à m’abonner à HBO ! Bon, vous me direz que je
ne peux pas perdre non plus des heures pour rester coller à l’écran de
télévision (ou d’ordinateur selon mon fournisseur de séries !!!).
En attendant la reprise sur les chaînes américaines de mes séries en cours (The
Originals en tête de gondole !) et de la nouvelle saison de Game of
Thrones (avec les affiches sorties, ça bruisse sur le sort de Jon Snow !),
voici celles auxquelles j’ai été sensible – visionnées, toutes, en V.O
sous titrées pour l’islandaise et l’israélienne, évidemment ! - :
Crossing Lines saison 3 :
Je ne suis pas une fan absolue mais je regardais principalement pour Donald
Sutherland que j’aime beaucoup depuis bien longtemps (depuis ma vision de
M*A*S*H et des Douze Salopards) ; les deux premières saisons étaient
agréables à regarder, sans surprise majeure mais sympathiques.
Par contre, la
saison 3 avait un atout majeur en la personne de Goran Visnjic. Les intrigues
étaient bien menées et amenées et les tensions entre les flics européens
apportent la touche humaine de l’ensemble. Si la saison 4 arrive, je la
regarderai en replay lors d’un voyage en train.
Elementary saison 3 :
Nonobstant l’intérêt pour l’acteur et sa façon psychorigide de voir la vie,
cela m’amuse toujours autant de le voir évoluer parmi les gens qui sont « pas
à son niveau de génie ».
En bonus, l’apparition de Stuart Townsend en
tueur en série, toujours aussi sexy…
Heavy Water – The Saboteurs :
Le postulat de départ m’a attiré. Cette partie de l’Histoire n’est pas la
plus connue par « le commun des mortels » ; En fait, c’est la
période qui n’est pas assez évoquée. De plus, la saison oscille entre l’Angleterre
et le Blitz, la Norvège et sa volonté de rester « neutre mais actif »
et l’Allemagne nazi et ceux qui ne pensent qu’à l’intérêt de la science.
C’est addictif et assez prenant, même si les histoires secondaires sont un
peu fades par moment.
Quelques invraisemblances sans importance majeure.
False Flag :
L’histoire de base est une belle trouvaille. Cinq citoyens israéliens
lambda découvrent un matin leurs têtes dans les médias qui les désignent comme
suspects dans l’enlèvement d’un politicien iranien.
Entre un scénario rodé et ficelé comme il le faut, les vraies-fausses
victimes, le soupçon des proches, les rapports ambigus et l’impossibilité de se
fier à quiconque, la série est impressionnante.
Après « Hatufim » (à la base de Homeland) qui était grandiose,
voici une nouvelle série israélienne à ne pas louper !
Deutschland 83 :
Au cours de l’année 83 (d’où le titre), pendant la Guerre Froide, les
Etats-Unis envisagent d’installer des missiles pointés contre l’URSS basées à l’Allemagne
de l’Ouest (RFA, donc, pour ceux qui ont vécu avant la chute du Mur). Un jeune
agent de la Stasi (police de la RDA, Allemagne de l’Est) est infiltré dans une
base militaire ouest-allemande sous une identité banale au plus proche d’un
général ; il est chargé de récupérer des documents secrets. Tiraillé entre
l’idéologie et sa morale personnelle, il tente de faire « au mieux ».
Outre l’histoire, les méandres de l’Histoire allemande, la façon d’être, l’idéologie,
le grand écart entre l’Est et l’Ouest, flagrant, et la bande son de 1983 qui
est omniprésente (dont la fameuse chanson « 99 luftballons »), Deutschland
83 est une nouvelle façon de faire comprendre les enjeux et la nouvelle Guerre
Mondiale qui s’est profilée alors.
L’humour et les drames intimes ne sont pas
en reste…
Shameless saison 6 (en cours de visionnage):
Ayant adoré la version initiale anglaise, loufoque à souhaits, la petite sœur
américaine n’est pas en reste. On retrouve les Gallagher, toujours aussi
barrés, leur énergie survoltée, leurs petits trafics, les magouilles, etc. ;
Les enfants grandissent, se déchirent, s’émancipent ; Les aînés font de
leur mieux pour vivre, survivre et s’élever ; ça parle crû, ça gueule, ça
boit, ça baise et ça fait rire.
Toujours pas de fausse note pour Shameless. On passe du grand guignol au
drame intime, de la grivoiserie à la tendresse pure et dure. C’est beau comme
une famille…
Meurtre au pied du volcan :
Ce n’est pas une série à proprement parlé. C’est un téléfilm en quatre
épisodes mais la beauté des paysages et l’intrigue poussent à la voir
absolument. La mort d’un banquier véreux lance un flic aussi impatient que
tourmenté dans une enquête surprenante qui l’amène aussi sur les traces de son
passé.
Polar sombre aux décors sublimes et incroyablement envoûtants islandais, ce
téléfilm profite d’acteurs à l’unisson de leurs personnages. Les blessures
personnelles du policier en charge est magnifiquement interprété par le très séduisant Björn Hlynur Haraldsson.
Once Upon a Time saison 4 et 5 :
oui, oui, cela peut paraître nunuche mais la seule présence du Capitaine
Crochet/Killian Jones suscite mon intérêt… Alors, en bonne élève, je continue à
regarder… pour lui.
(oui, je sais assez loin de mes goûts... comme quoi !)
Allez, au mois prochain !!
copyrights photos : Canal Plus, HBO, abc, Showtime, Netflix, etc.
Hormis Once upon a time, je n'ai vu aucune de ces séries... Il y en a même dont je n'ai jamais entendu parler ! Je vais me pencher dessus :)
ReplyDeleteAh, oui, j'adorerais avoir ton avis sur certaines ;)
DeletePour Elementary, je suis à la bourre, je n'ai toujours pas vu la 2e saison, pourtant j'avais trop kiffé la première saison !
ReplyDeleteFaut dire que les Sherlock se suivent mais ne se ressemblent pas ;)
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