Thursday, February 20, 2014

Ma sélection de sorties ciné à ne pas rater en janvier et février 2014




Entre deux bûches, trois châtaignes, deux ou trois flûtes de champagne rosé et autres joyeusetés des fêtes de fin d’année, j’ai mis le nez dehors et compte-tenu du temps plutôt clément (soleil, température fixée à 17° et pas un brin de pluie… je parle de décembre, hein, pas de janvier…), j’ai foncé au cinéma pour échapper à quelques balades en forêt à la recherche du houx (même si j’adore ça !)… Mais il y avait mieux au menu :
Albator Corsaire de l’Espace (Shinji Aramaki) : je confirme que je suis, encore, un brin amoureuse d’Albator… Même si le film est éloigné du graphique original, le film est dépaysant et captivant… et pour les beaux yeux du Corsaire, j’ai régressé avec un plaisir de gosses !
La Vie Rêvée de Walter Mitty (Ben Stiller) : Ben Stiller est étonnant, drôle (enfin pour moi) et plein d’idées. Le film est aussi barré et sympathique que je l’avais espéré… un bon moment de détente.
Yves Saint Laurent (Jalil Lespert) : que dire à part énorme, ou magnifique. Pierre Niney est un Saint-Laurent fascinant et quelle histoire d’amour… clairement, LE film à voir.
12 Years A Slave (Steve McQueen) : mais où va s’arrêter (pitié, non, continuez !) le duo Fassbender/McQueen ? Ce film met le doigt où cela fait mal, et transforme le regard sur cette partie de l’Histoire. C’est puissant, brutal, plein d’émotions ; reste quelques nuances qui aurait pu (dû ?) être apportées à certains personnages.
Dallas Buyers Club (Jean-Marc Vallée) : une claque émouvante. Voilà la phrase qui a résonné dans ma tête en sortant du ciné ! Entre la rage de McConaughey et la fragilité grande gueule à stilettos de Leto (qui est largement mésestimé dans le cinéma !), ce film est audacieux et mériterait quelques Oscars®.
Cependant, et pour charger un peu plus mon planning perso, j’ai vu deux films supplémentaires :
The Spectacular Now (James Ponsoldt) : c’est un petit film sur l’adolescence, sincère et qui aborde deux thèmes casse-gueule : l’alcool et le sexe. Tout en nuance, le film est bouleversant dans cette histoire intrigante loin des films potaches.
Beaucoup de Bruit pour Rien (Joss Whedon) : alors, là, comment dire ? Le titre résume le film. Pourtant, la pièce de Shakespeare est un bijou, mais à chaque fois (la version de Kenneth Branagh était lumineusement plate, pourtant j’adore Branagh), les réalisateurs s’y cassent les dents. Whedon (connu pour Avengers et papa de Buffy) n’y échappe pas. Transposé dans un contexte contemporain, cela aurait pu donner une autre dimension au texte… Beaucoup de… donc !
Du coup, j’ai pensé aux films à venir qu’il faut que j’aille impérativement voir en février :
American Bluff (David O. Russell) : que voulez-vous ! Moi, Christian Bale me stimule les neurones (entre autres…).
For Those In Peril (Paul Wright) : une légende écossaise, un relent de Moby Dick, Paul Wright à la caméra et une luminosité photographique qui m’attire… J’y cours !
Only Lovers Left Alive (Jim Jarmusch) et The Grand Budapest Hotel (Wes Anderson) : uniquement pour leurs réalisateurs et deux acteurs squattant, respectivement, dans les films : Tilda Swinton et Adrian Brody…
Et vous, en ce mois de février, pluvieux et doux (pour l’instant), lequel voulez-vous voir ? Et pitié, pas de guimauve pour la Saint Valentin !


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